Paroles de la chanson We Cut the Night (Traduction) par AaRON
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Paroles de la chanson We Cut the Night (Traduction) par AaRON
Dehors il fait nuit et tu es mienne à nouveau
Lumières rouges et givres épais sont les vêtements de la terre
Ton souffle dessine un nuage à la fenêtre de notre voiture
Nos yeux fatigués, continuent de mendier d'avantage
Gravé dans la violence, sommes-nous allés trop loin ?
Quelque part quatre roues rugissent de leur pouvoir
Cette route est une peau de serpent, étincelante et lisse
Comme un reptile, qui entaille le sol gelé
Ce monde ne nous appartient pas
Lumières rouges et givres épais sont les vêtements de la terre
Ton souffle dessine un nuage à la fenêtre de notre voiture
Nos yeux fatigués, continuent de mendier d'avantage
Gravé dans la violence, sommes-nous allés trop loin ?
Quelque part quatre roues rugissent de leur pouvoir
Cette route est une peau de serpent, étincelante et lisse
Comme un reptile, qui entaille le sol gelé
Ce monde ne nous appartient pas
Mais plus rapide que la pluie
Nous coupons la nuit
Nous sommes des balles aléatoires, l'amour
Tirés par un certain dieu ivre
Seul coupable, de la vieillesse
Les heures comme du feu, brûlent nos croyances
Bientôt le soleil se lèvera et nous coudra dans ce rêve
Oubliant que nous sommes des matelots, sans vent dans les voiles
Jumeaux pour les battements du cœur avant que le matin ne freine
Rejeté dans les vertiges, et demandant plus
Avons-nous jamais remarqué que rien ne dure éternellement ?
Faces vers le ciel, car l'inconnu est sublime
Imprimant chaque heure par mon polaroid
Nous coupons la nuit
Nous sommes des balles aléatoires, l'amour
Tirés par un certain dieu ivre
Seul coupable, de la vieillesse
Les heures comme du feu, brûlent nos croyances
Bientôt le soleil se lèvera et nous coudra dans ce rêve
Oubliant que nous sommes des matelots, sans vent dans les voiles
Jumeaux pour les battements du cœur avant que le matin ne freine
Rejeté dans les vertiges, et demandant plus
Avons-nous jamais remarqué que rien ne dure éternellement ?
Faces vers le ciel, car l'inconnu est sublime
Imprimant chaque heure par mon polaroid
Ce monde ne nous appartient pas
Mais plus rapide que la pluie
Nous coupons la nuit
Nous sommes des balles aléatoires, l'amour
Tirés par un certain dieu ivre
Seul coupable
De la vieillesse
De la vieillesse
Les heures comme du feu, brûlent nos croyances
La vérité est là, même si nous saignons
Routes de nuit sont les couches de charbon sur les muscles
Du monde, nous menant vers nulle part
Parce que nulle part est notre maison
Nulle part est notre maison
Oh seul coupable, de la vieillesse
Nous sommes des balles aléatoires, l'amour
Ce monde ne nous appartient pas
Mais plus rapide que la pluie
Nous coupons la nuit
Nous sommes des balles aléatoires, l'amour
Ce monde ne nous appartient pas
Mais plus rapide que la pluie
Nous coupons la nuit
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