Paroles de la chanson L'olivier par Salvatore Adamo
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Paroles de la chanson L'olivier par Salvatore Adamo
Ma mère toute en robe blanche, si vous saviez
Posa son panier sous les branches, si vous saviez
C’était un doux soleil couchant
Les ouvriers quittaient le champ
Elle pressait doucement ses hanches, sous l’olivier
Une racine sous la tête, si vous saviez
Un lit de feuilles pour couchette, si vous saviez
Quand j’ai poussé mon premier cri
Ma mère a dit voici le fruit le plus bruyant de ma cueillette
Bel olivier
Je fus un enfant arbricole, si vous saviez
L’olivier pour préau d’école, si vous saviez
Posa son panier sous les branches, si vous saviez
C’était un doux soleil couchant
Les ouvriers quittaient le champ
Elle pressait doucement ses hanches, sous l’olivier
Une racine sous la tête, si vous saviez
Un lit de feuilles pour couchette, si vous saviez
Quand j’ai poussé mon premier cri
Ma mère a dit voici le fruit le plus bruyant de ma cueillette
Bel olivier
Je fus un enfant arbricole, si vous saviez
L’olivier pour préau d’école, si vous saviez
Sa sève coulait sous mon front quand je m’endormais sur son tronc
Jamais il me mettait de colle
Mon olivier
Un matin dans un bruit féroce, si vous saviez
La guerre a lancé ses molosses, si vous saviez
Et dans le déluge de flammes
On entendit hurler des âmes prises entre le torse et l’écorce
Des oliviers
Au milieu des arbres en cendre, si vous saviez
Un seul a continué de tendre, si vous saviez
Ses branches tordues vers le ciel
Lorsque à son pied, saignant des ailes, un oiseau est venu s’étendre
Sous l’olivier
Jamais il me mettait de colle
Mon olivier
Un matin dans un bruit féroce, si vous saviez
La guerre a lancé ses molosses, si vous saviez
Et dans le déluge de flammes
On entendit hurler des âmes prises entre le torse et l’écorce
Des oliviers
Au milieu des arbres en cendre, si vous saviez
Un seul a continué de tendre, si vous saviez
Ses branches tordues vers le ciel
Lorsque à son pied, saignant des ailes, un oiseau est venu s’étendre
Sous l’olivier
Tout doucement, l’autre après l’une, si vous saviez
D’huile j’ai recouvert ses plumes, si vous saviez
L’a revolé et moi avec
C’est bizarre, il avait le bec, les yeux perçants et la queue brune
D’un épervier
Eh bien, s’en était un, pardi, si vous saviez
On venait de tout le pays, si vous saviez
Le voir défendre chaque olive
Des ongles, des rats et des grives lançant des hourras ébahis
À l’épervier
Par un petit froid de janvier, si vous saviez
Ombre sous l’ombre on l’a trouvé, si vous saviez
Il dort sous un cœur en gravier
Sur un nuage on a gravé, ici repose l’épervier
De l’olivier
Il dort sous un cœur en gravier
Sur un nuage on a gravé, ici repose l’épervier
De l’olivier
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