Paroles de la chanson La Fille De La Riviere par Salvatore Adamo
Chanson manquante pour "Salvatore Adamo" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "La Fille De La Riviere"
Proposer une correction des paroles de "La Fille De La Riviere"
Paroles de la chanson La Fille De La Riviere par Salvatore Adamo
Au bord d'une rivière
Au cœur d'une chaumière
Vivait une fille
Une reine en guenille
Les gens la croyait folle
Quand elle disait: Je vole
Moi, je la croyais
Les gens n'avaient plus de mot
Quand elle marchait sur l'eau
Moi, je la suivais
Je la suivais le long, le long de sa légende
Ses cheveux blonds si longs comme une houppelande
Elle marchait pieds nus, irréelle et légère
Au cœur d'une chaumière
Vivait une fille
Une reine en guenille
Les gens la croyait folle
Quand elle disait: Je vole
Moi, je la croyais
Les gens n'avaient plus de mot
Quand elle marchait sur l'eau
Moi, je la suivais
Je la suivais le long, le long de sa légende
Ses cheveux blonds si longs comme une houppelande
Elle marchait pieds nus, irréelle et légère
Moi, je suivais comme je pouvais, oui, mais que faire?
Et je tombais de pierre en pierre
Je l'appelais, je la perdais
Mais elle avait l'âme si fière
Jamais elle ne se retournait
Au bord de la rivière
J'attendais solitaire
Qu'un frisson de l'onde
Me rende ma Joconde
Les bras chargés de perles d'eau
Bercée parmi le chant d'oiseau
Elle souriait
Elle me faisait l'offrande
Et je tombais de pierre en pierre
Je l'appelais, je la perdais
Mais elle avait l'âme si fière
Jamais elle ne se retournait
Au bord de la rivière
J'attendais solitaire
Qu'un frisson de l'onde
Me rende ma Joconde
Les bras chargés de perles d'eau
Bercée parmi le chant d'oiseau
Elle souriait
Elle me faisait l'offrande
D'un collier de lavande
Puis, elle s'en allait
Au bord de la rivière
D'une lointaine terre
Un étranger sans vin
Qui mourrait de faim
Elle le nourrit d'amandes
De miel et de mangues
Elle lui dit viens
C'est toi que j'attendais
Elle mit sa robe blanche
Pour son premier dimanche
Et au matin, ils s'épousaient
Et ils marchaient le long, le long de la légende
Puis, elle s'en allait
Au bord de la rivière
D'une lointaine terre
Un étranger sans vin
Qui mourrait de faim
Elle le nourrit d'amandes
De miel et de mangues
Elle lui dit viens
C'est toi que j'attendais
Elle mit sa robe blanche
Pour son premier dimanche
Et au matin, ils s'épousaient
Et ils marchaient le long, le long de la légende
Ils étaient beaux si beaux qu'enfin je me demande
De quel soleil venait cette étrange lumière
Quand ils marchaient comme des dieux sur la rivière
Et je tombais de pierre en pierre
Je l'appelais, je la perdais
Mais je savais qu'à la rivière
Jamais je ne la reverrais
De quel soleil venait cette étrange lumière
Quand ils marchaient comme des dieux sur la rivière
Et je tombais de pierre en pierre
Je l'appelais, je la perdais
Mais je savais qu'à la rivière
Jamais je ne la reverrais
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)