Paroles de la chanson Dans La Rue par Agnès Bihl
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Paroles de la chanson Dans La Rue par Agnès Bihl
Dans la rue si parfaite de mes sept ou huit ans
Je traversais la vie, mais n’importe comment
J’avais tout devant moi, j’avais l’amour aux trousses
Et ma pauvre mère poule me couvait de sa frousse
Personne ne le savait, à part toutes mes copines
Que d’abord, c’était moi la chérie d’Albator
Je cachais mes secrets dans mon journal intime
Que mon frère m’a piqué, que j’lui en veux encore
Dans la rue si parfaite de mes sept ou huit ans
Y'avait pas de garçons, y'avait le prince charmant
Je traversais la vie, mais n’importe comment
J’avais tout devant moi, j’avais l’amour aux trousses
Et ma pauvre mère poule me couvait de sa frousse
Personne ne le savait, à part toutes mes copines
Que d’abord, c’était moi la chérie d’Albator
Je cachais mes secrets dans mon journal intime
Que mon frère m’a piqué, que j’lui en veux encore
Dans la rue si parfaite de mes sept ou huit ans
Y'avait pas de garçons, y'avait le prince charmant
Si je fermais les yeux, je le voyais passer
C’était sûr et sérieux, qu’on allait se marier
Alors trop maigrichonne pour jouer au docteur
Je mettais du coton dans un vrai soutien-gorge
Faire semblant d’être grande, c’était pas très flatteur
Dans la cour de récrée, bonbec et sucre d’orge
Mais à sept ou huit ans, le temps est en vacances
Et moi, je parlais seule pour faire peur au silence
Je pouvais pas savoir, on me l’avait trop dit
Qu’un jour, la vie viendrait ramasser les copies
C’était sûr et sérieux, qu’on allait se marier
Alors trop maigrichonne pour jouer au docteur
Je mettais du coton dans un vrai soutien-gorge
Faire semblant d’être grande, c’était pas très flatteur
Dans la cour de récrée, bonbec et sucre d’orge
Mais à sept ou huit ans, le temps est en vacances
Et moi, je parlais seule pour faire peur au silence
Je pouvais pas savoir, on me l’avait trop dit
Qu’un jour, la vie viendrait ramasser les copies
Dans la rue si parfaite de mes sept ou huit ans
J’allais toujours trop vite, puisque j’avais le temps
Je plongeais dans la vie, la tête la première
Et comme je me prenais pour la fille de mon père
Je comptais les années comme on compte les moutons
J’avais tout à comprendre, j’avais tout à gagner
Beaucoup trop d’illusions pas encore de boutons
Mais d’l’amour à revendre que je voulais donner !
Dans la rue si parfaite de mes sept ou huit ans
J’ai planqué mon enfance, j’ai gagné du temps
J’allais dans une école de toutes les couleurs
Et comme je grandissais tout près du radiateur
J’ai tué le père noël, la souris verte est morte
J’ai planté des cailloux, je les ai vu pousser
J’ai éteint la lumière et j’ai fermé la porte
J’avais déjà trop peur pour ne pas l’mériter !
Mais à sept ou huit ans, c’est le temps des regrets
Alors aujourd’hier, j’écoute le temps passer
Je pouvais pas savoir, on me l’avait trop dit
Qu’un jour, la vie viendrait ramasser les copies
Et comme je grandissais tout près du radiateur
J’ai tué le père noël, la souris verte est morte
J’ai planté des cailloux, je les ai vu pousser
J’ai éteint la lumière et j’ai fermé la porte
J’avais déjà trop peur pour ne pas l’mériter !
Mais à sept ou huit ans, c’est le temps des regrets
Alors aujourd’hier, j’écoute le temps passer
Je pouvais pas savoir, on me l’avait trop dit
Qu’un jour, la vie viendrait ramasser les copies
Et la rue si parfaite de mes sept ou huit ans
Aujourd’hui ce n’est plus qu’un pied de nez au vent
Aujourd’hui ce n’est plus qu’un pied de nez au vent
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