Paroles de la chanson Ignoble Animal par Alexandre Balduzzi
Auteurs: Balduzzi
Compositeurs: Balduzzi
Editeurs: Universal Music Publishing,Une Musique
Chanson manquante pour "Alexandre Balduzzi" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Ignoble Animal"
Proposer une correction des paroles de "Ignoble Animal"
Paroles de la chanson Ignoble Animal par Alexandre Balduzzi
L'ignoble animal venait enfin d'atteindre sa cible
Toutes ses peines, ses joies coulaient à flots comme un ruisseau
Qui cascade mais à cet instant précis,
Le ruisseau ne brillait plus de ses couleurs vives
La pauvre bête accablée, par la fatigue avait achevée
Son dernier labeur, elle avait visé juste, elle avait visé dans le mil
Puis s'aidant de ses mains atrophiées par de nombreuses batailles
Le féroce carnivore souleva ce qui lui restait d'humain
Son corps, des lors, il put apercevoir l'ombre de ses mains
Sa vie alors apparaissait soudain sur son visage,
Toutes ses peines, ses joies coulaient à flots comme un ruisseau
Qui cascade mais à cet instant précis,
Le ruisseau ne brillait plus de ses couleurs vives
La pauvre bête accablée, par la fatigue avait achevée
Son dernier labeur, elle avait visé juste, elle avait visé dans le mil
Puis s'aidant de ses mains atrophiées par de nombreuses batailles
Le féroce carnivore souleva ce qui lui restait d'humain
Son corps, des lors, il put apercevoir l'ombre de ses mains
Sa vie alors apparaissait soudain sur son visage,
Il contemplait alors ses yeux meurtris par l'excès mais
Qui es-tu ignoble animal ?
Ce n'était pas le premier combat qu'il livrait mais ce soir là,
La fatigue l'emportait, il avait perdu toutes forces ses
Sens le quittaient pourtant un soupçon de vie le tenait
Conscient-ifiquement imprudent, il se souvint en vain
Des gros obstacles qu'il avait dû surmonter,
Les marches d'escaliers a escalader,
Les portes à franchir pour parvenir
Au relâchement, je peux le dire, son lavabo
Il était si misérable que les grands esprits nommées mamans,
L'auraient volontiers soumis aux exécrables nocturnes emprisonnements,
Qui es-tu ignoble animal ?
Ce n'était pas le premier combat qu'il livrait mais ce soir là,
La fatigue l'emportait, il avait perdu toutes forces ses
Sens le quittaient pourtant un soupçon de vie le tenait
Conscient-ifiquement imprudent, il se souvint en vain
Des gros obstacles qu'il avait dû surmonter,
Les marches d'escaliers a escalader,
Les portes à franchir pour parvenir
Au relâchement, je peux le dire, son lavabo
Il était si misérable que les grands esprits nommées mamans,
L'auraient volontiers soumis aux exécrables nocturnes emprisonnements,
Calfeutré, isolé de longs, de longs moments,
En attendant toujours le même serment
Mais tu t'es vu, quand t'as bu, ignoble animal ?
Cet animal comparable à un loup gavé de ses trophées
N'était autre que moi, oui moi oui, jeune homme ivre de sa nuit
Et de l'image que lui reflétait le miroir juste en face de lui
et dis-moi miroir qui est le plus laid ?
Moi pourquoi parce que tu es trop bourré !
Et à voir et à reboire,
Il était malheureux à voir et il faisait
En attendant toujours le même serment
Mais tu t'es vu, quand t'as bu, ignoble animal ?
Cet animal comparable à un loup gavé de ses trophées
N'était autre que moi, oui moi oui, jeune homme ivre de sa nuit
Et de l'image que lui reflétait le miroir juste en face de lui
et dis-moi miroir qui est le plus laid ?
Moi pourquoi parce que tu es trop bourré !
Et à voir et à reboire,
Il était malheureux à voir et il faisait
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)