Paroles de la chanson J'Appartiens par Alexandre Kinn
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Paroles de la chanson J'Appartiens par Alexandre Kinn
Je ne suis qu'un paysan amoureux de la même
Depuis la nuit des temps comme un vieux chêne je l'aime
Et un jour de grand vent une autre femme s'amène
Des sourires de printemps sous sa petite laine
Toi et moi nous savons que les plaisirs d'amour ne durent qu'un moment
Mais dans la poésie du probablement, il y a des contes brûlants seulement pour
les grands
On pourrait se séduire en continuant à boire
Mais aimer, belle enfant, c'est la moitié de croire
Ce n'est pas la faute à lui à elle ou aux poètes
Depuis la nuit des temps comme un vieux chêne je l'aime
Et un jour de grand vent une autre femme s'amène
Des sourires de printemps sous sa petite laine
Toi et moi nous savons que les plaisirs d'amour ne durent qu'un moment
Mais dans la poésie du probablement, il y a des contes brûlants seulement pour
les grands
On pourrait se séduire en continuant à boire
Mais aimer, belle enfant, c'est la moitié de croire
Ce n'est pas la faute à lui à elle ou aux poètes
Mais il y a de l'honneur qui rôde dans nos têtes
J'appartiens
Ce n'est pas le moment
C'est désolant, fais comme avant
Si tu savais la place que cela prend pour le moment
Certains te diront n'appartenir à personne
Et vouloir être libre de l'hiver à l'automne
Mais l'hiver somnolent rêve des autres saisons
L'automne est un enfant qui a toujours raison
Nous devons, comme la noix, nous retrouver brisés pour être découverts
L'humain se doit d'avoir souffert
Si nous deux c'est un jour ou même une seule nuit
J'appartiens
Ce n'est pas le moment
C'est désolant, fais comme avant
Si tu savais la place que cela prend pour le moment
Certains te diront n'appartenir à personne
Et vouloir être libre de l'hiver à l'automne
Mais l'hiver somnolent rêve des autres saisons
L'automne est un enfant qui a toujours raison
Nous devons, comme la noix, nous retrouver brisés pour être découverts
L'humain se doit d'avoir souffert
Si nous deux c'est un jour ou même une seule nuit
C'est comme d'abattre un arbre sans qu'il porte ses fruits
Joindre l'inutile à l'agréable serait notre déclin
Et l'homme d'une seule femme ne promet jamais rien
J'appartiens
Ce n'est pas le moment
C'est désolant, fais comme avant
Si tu savais la place que cela prend pour le moment
Joindre l'inutile à l'agréable serait notre déclin
Et l'homme d'une seule femme ne promet jamais rien
J'appartiens
Ce n'est pas le moment
C'est désolant, fais comme avant
Si tu savais la place que cela prend pour le moment
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