Paroles de la chanson Le veuf par Alexis HK
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Paroles de la chanson Le veuf par Alexis HK
« Avant ma barbe poivre et sel, et qu'au coin de mes yeux ne poussent
Les deux immenses serres d'aigle qui me passent par la brousse
J'avais le cœur allègre et pur (enfin si pur qu'un cœur puisse être)
Et n'avais commis de parjure qu'envers les vilains et les traîtres. »
Ainsi divaguait le veuf
Le veuf était... Le veuf était gai !
Et, si j'avais l'œil du bœuf
Mon oreille était aux aguets
Ainsi parlait le veuf
Et comme chacun sait :
Quand parle le veuf
Les deux immenses serres d'aigle qui me passent par la brousse
J'avais le cœur allègre et pur (enfin si pur qu'un cœur puisse être)
Et n'avais commis de parjure qu'envers les vilains et les traîtres. »
Ainsi divaguait le veuf
Le veuf était... Le veuf était gai !
Et, si j'avais l'œil du bœuf
Mon oreille était aux aguets
Ainsi parlait le veuf
Et comme chacun sait :
Quand parle le veuf
Ouït le bœuf
« Un jour où la Terre était d'humeur à jouer les jeunes premières de bal
De promotion, la fin du moi de Mai allumait tout plein de jolis pétales
Le flair au vent, le parfum d'une robe vint me taquiner les nasales
J'étais attendu : La belle avait perdu son cavalier et son cheval
Nous nous aimâmes si fort que tu ne pourrais pas, de toute ton âme de bougre
Te figurer cela, toi dont le cœur n'a jamais été percé par la foudre
Encore aujourd'hui je remercie celui qui, dans sa bonté de grand prince
M'offrit un amour aussi joli que la plus jolie chanson de Brassens. »
« Un jour où la Terre était d'humeur à jouer les jeunes premières de bal
De promotion, la fin du moi de Mai allumait tout plein de jolis pétales
Le flair au vent, le parfum d'une robe vint me taquiner les nasales
J'étais attendu : La belle avait perdu son cavalier et son cheval
Nous nous aimâmes si fort que tu ne pourrais pas, de toute ton âme de bougre
Te figurer cela, toi dont le cœur n'a jamais été percé par la foudre
Encore aujourd'hui je remercie celui qui, dans sa bonté de grand prince
M'offrit un amour aussi joli que la plus jolie chanson de Brassens. »
Ainsi divaguait le veuf
Le veuf était de plus en plus gai !
Et, si j'avais l'œil du bœuf
Mon oreille était aux aguets
Ainsi parlait le veuf
Et comme chacun sait :
Quand parle le veuf
Ouït le bœuf
La vie reprend toujours ses droits, la mort aussi
Et celui-ci que je vois là battre des bras comme deux ailes
M'a raconté la mort de celle qu'il aima :
« Le fer était battu d'avance, la mort attendait dans les loges
Comme dans tous les chants d'amour que forge la gorge de Georges
Après avoir chanté tout l'été de ma vie l'éloge d'un amour si grand
Et qu'on m'a tout repris, je vais danser maintenant. »
Ainsi divaguait le veuf
Le veuf était... Le veuf était gai !
Et, si j'avais l'œil du bœuf
Mon oreille était aux aguets
Ainsi parlait le veuf
Et comme chacun sait :
Quand parle le veuf
Ouït le bœuf
Ainsi divaguait le veuf
Le veuf était... Le veuf était gai !
Et, si j'avais l'œil du bœuf
Mon oreille était aux aguets
Et qu'on m'a tout repris, je vais danser maintenant. »
Ainsi divaguait le veuf
Le veuf était... Le veuf était gai !
Et, si j'avais l'œil du bœuf
Mon oreille était aux aguets
Ainsi parlait le veuf
Et comme chacun sait :
Quand parle le veuf
Ouït le bœuf
Ainsi divaguait le veuf
Le veuf était... Le veuf était gai !
Et, si j'avais l'œil du bœuf
Mon oreille était aux aguets
Ainsi parlait le veuf
Et comme chacun sait :
Quand parle le veuf
Ouït le bœuf
La vie reprend toujours ses droits, la mort aussi
Et celui-ci que je vois là s'agiter sur la tarentelle
Danse avec une autre que celle qu'il aima
Et comme chacun sait :
Quand parle le veuf
Ouït le bœuf
La vie reprend toujours ses droits, la mort aussi
Et celui-ci que je vois là s'agiter sur la tarentelle
Danse avec une autre que celle qu'il aima
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