Paroles de la chanson Cabaret par Alfred Massaï
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Paroles de la chanson Cabaret par Alfred Massaï
Les monstres dans la bouteille
Ces araignées grisées
Gorgées comme des groseilles
Viennent se percher sous les cerveaux de la
guinguette
Zozos sous la ch’misette
Profils sans silhouettes
Beurrés de la casquette
Dans les vapeurs des anisettes
Et un tissé de vaporette
Un bêtisier sur la télé vient en direct
Ça s’jette aux murs sans rien comprendre,
Les coups de sang
Dans les odeurs de vieilles fritures et de vieille
France
Ces araignées grisées
Gorgées comme des groseilles
Viennent se percher sous les cerveaux de la
guinguette
Zozos sous la ch’misette
Profils sans silhouettes
Beurrés de la casquette
Dans les vapeurs des anisettes
Et un tissé de vaporette
Un bêtisier sur la télé vient en direct
Ça s’jette aux murs sans rien comprendre,
Les coups de sang
Dans les odeurs de vieilles fritures et de vieille
France
Ça rêve de sexe et d’abondance
Et la nuit ploie sous l’arrogance
Des ivresses pleines de délivrance
Capte le capitaine !!!!
Chacun sa sphère d’éveil
Chacun tourne dans sa main
Un soleil de verdure, logé dans les embruns des
soleils sous-marins
Émulsions dans les chiottes
Les yeux dans la lunette
A genoux dans sa crêpe
Y’a leurs boyaux qui viennent cerner le bord
émail de la cuvette
Un bêtisier sur la télé vient en direct
Y’a toutes ces vies qui défilent
Sous les lumières serties de mouches
Qui viennent célébrer cette belle douche
Choeur des bad boys :
Et la nuit ploie sous l’arrogance
Des ivresses pleines de délivrance
Capte le capitaine !!!!
Chacun sa sphère d’éveil
Chacun tourne dans sa main
Un soleil de verdure, logé dans les embruns des
soleils sous-marins
Émulsions dans les chiottes
Les yeux dans la lunette
A genoux dans sa crêpe
Y’a leurs boyaux qui viennent cerner le bord
émail de la cuvette
Un bêtisier sur la télé vient en direct
Y’a toutes ces vies qui défilent
Sous les lumières serties de mouches
Qui viennent célébrer cette belle douche
Choeur des bad boys :
Les mirages tremblent au fond des salles urbaines
où les mixages savent tout de toi !
Des crâneurs qui s’enlisent
Dans leurs délires d’eaux fortes
Pour soutirer une bise, dans leur menu y’a une
mignonne
Qui devient grise du philosophe
C’est la puissance qui s’assoit quand les degrés
donnent de la voix
Les veines surchargées de l’exploit
Dans les vertiges de leurs vices
A deux pieds dans le précipice ils aiment à
regarder le fond
Ils descendent à pleine lampe
Leurs verres accrochées à la rampe
Sonder cette santé qui les tente
Perd pas l’capitaine perd pas !
où les mixages savent tout de toi !
Des crâneurs qui s’enlisent
Dans leurs délires d’eaux fortes
Pour soutirer une bise, dans leur menu y’a une
mignonne
Qui devient grise du philosophe
C’est la puissance qui s’assoit quand les degrés
donnent de la voix
Les veines surchargées de l’exploit
Dans les vertiges de leurs vices
A deux pieds dans le précipice ils aiment à
regarder le fond
Ils descendent à pleine lampe
Leurs verres accrochées à la rampe
Sonder cette santé qui les tente
Perd pas l’capitaine perd pas !
Dans les frissons des arrières jours
La volupté comme un tambour
Vient percer le son de l’ennui
C’est toute la foi des troubadours
Apôtres de génie qui s’ouvre
Des mers sur des gouffres interdits
Et les journées deviennent jalouses
De ces folies qui prennent vie
Dans ces heures sombres bourrés de bruits
Où les chaloupes de fières cirrhoses
Viennent tanguer comme des furies
Entre des tempes d’éléphants roses
Par les culs de bouteille
On se voit plus grand
Perd pas l’capitaine perd pas !
Choeur :
Les mirages tremblent au fond des salles urbaines
La volupté comme un tambour
Vient percer le son de l’ennui
C’est toute la foi des troubadours
Apôtres de génie qui s’ouvre
Des mers sur des gouffres interdits
Et les journées deviennent jalouses
De ces folies qui prennent vie
Dans ces heures sombres bourrés de bruits
Où les chaloupes de fières cirrhoses
Viennent tanguer comme des furies
Entre des tempes d’éléphants roses
Par les culs de bouteille
On se voit plus grand
Perd pas l’capitaine perd pas !
Choeur :
Les mirages tremblent au fond des salles urbaines
où les mixages savent tout de toi !
Épilogue :
Au large, au large, au large
Au large, tous les gosiers s’voient
S’noyer pour la dernière fois
Au large, tous les gosiers s’noient
S’noient pour s’voir la première fois
Épilogue :
Au large, au large, au large
Au large, tous les gosiers s’voient
S’noyer pour la dernière fois
Au large, tous les gosiers s’noient
S’noient pour s’voir la première fois
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