Paroles de la chanson Comme par Alfred Massaï
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Paroles de la chanson Comme par Alfred Massaï
Comme si encore
Remuait toutes les fêtes
Celle des enfances de tous
Connues dans cet hôtel
Même à travers le phone
Un souffle joyeux et clair
Passait juste derrière « qui »
Plus qu’une mémoire de pierre « sont »
Nos élans de jeunesse
La chaleur de nos pères
J’entendais si bien
Cette ancienne atmosphère
Qui semblait souffler là
Comme le vent sur la grève
Derrière la voix d’ma tante
C’est des scènes que j’voyais
Remuait toutes les fêtes
Celle des enfances de tous
Connues dans cet hôtel
Même à travers le phone
Un souffle joyeux et clair
Passait juste derrière « qui »
Plus qu’une mémoire de pierre « sont »
Nos élans de jeunesse
La chaleur de nos pères
J’entendais si bien
Cette ancienne atmosphère
Qui semblait souffler là
Comme le vent sur la grève
Derrière la voix d’ma tante
C’est des scènes que j’voyais
Mêlant petits et grands
Qui dans la balance du temps
Se r’trouvent à même hauteur
Éternués du printemps
Refrain :
Qu’est ce que j’fais dans la maille des fils ?
Où est-ce que j’ère dans la maille des fils ?
Comme si nos corps
Sont leurs métamorphoses
Je vois dans mes sillons
La trace de leurs rivières
Qui dessinent nos contours
En lieu et place de terre
Y’a tout qui s’transforme
Ils reviennent pour se taire
Car l’éloquence du moment
Est not’ vie sous leurs traits
Qui dans la balance du temps
Se r’trouvent à même hauteur
Éternués du printemps
Refrain :
Qu’est ce que j’fais dans la maille des fils ?
Où est-ce que j’ère dans la maille des fils ?
Comme si nos corps
Sont leurs métamorphoses
Je vois dans mes sillons
La trace de leurs rivières
Qui dessinent nos contours
En lieu et place de terre
Y’a tout qui s’transforme
Ils reviennent pour se taire
Car l’éloquence du moment
Est not’ vie sous leurs traits
Je n’me suis jamais vu
Sous l’arche de cette chair
Qui sacre à cet endroit
L’histoire de nos ancêtres
Mais l’animal d’un soir
A vu nourrir son corps
D’un pouls inépuisable
Dans le soleil des autres
C’est mon ombre que je vois
A défaut d’un moi clair
Refrain
Dans les orages à testaments, je suis le code
vestimentaire
Je suis l’oracle de leurs temps, on me devine
dans mes ancêtres
Je me décide dans leurs labours, monstre chiffon
de leur vestiaire
Dans le sommeil de leurs amours, dauphin
Sous l’arche de cette chair
Qui sacre à cet endroit
L’histoire de nos ancêtres
Mais l’animal d’un soir
A vu nourrir son corps
D’un pouls inépuisable
Dans le soleil des autres
C’est mon ombre que je vois
A défaut d’un moi clair
Refrain
Dans les orages à testaments, je suis le code
vestimentaire
Je suis l’oracle de leurs temps, on me devine
dans mes ancêtres
Je me décide dans leurs labours, monstre chiffon
de leur vestiaire
Dans le sommeil de leurs amours, dauphin
possible de leur cour
Patientant dans leurs maillages, mon fil tissant
l’élan d’son tour
Mon arrivée prenait son âge, chaque destin m’a
donné l’jour
Patientant dans leurs maillages, mon fil tissant
l’élan d’son tour
Mon arrivée prenait son âge, chaque destin m’a
donné l’jour
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