Paroles de la chanson La Heron par Alfred Massaï
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Paroles de la chanson La Heron par Alfred Massaï
Est-ce seulement une façon de se donner du style et comment,
S’entraîne-t-il pour être surveillant de rivières et étangs
Se serait-il fait prendre malencontreusement les pattes dans le ciment
Est-ce un pied d’nez aux grues d’chantier qui hantent son quartier ?
Sa grue s’est-elle envoyée en l’air avec un oiseau de passage
Veut-il leur à cet amour volage faire barrage
Il clouerait bien, le bec à celui qui le prit pour une bécasse… à son âge
Cache-t-il sous ses airs de redoutable pêcheur un cœur de coucou ?
L’espèce humaine n’ayant le monopole de l’évolution
S’entraîne-t-il pour être surveillant de rivières et étangs
Se serait-il fait prendre malencontreusement les pattes dans le ciment
Est-ce un pied d’nez aux grues d’chantier qui hantent son quartier ?
Sa grue s’est-elle envoyée en l’air avec un oiseau de passage
Veut-il leur à cet amour volage faire barrage
Il clouerait bien, le bec à celui qui le prit pour une bécasse… à son âge
Cache-t-il sous ses airs de redoutable pêcheur un cœur de coucou ?
L’espèce humaine n’ayant le monopole de l’évolution
Notre phénomène en restant sur terre fait-il sa petite révolution
Son destin bat de l’aile il changerait bien quelques traits de sa constitution
« Un si long bec, pratique je chasse, mais ces deux échasses,
Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ? »
Quant aux soirs de lune le cou les pognes enfoncées dans ses plumes,
On croit revoir, un Jean Gabin faire les cent pas sur le quai des brumes
Faisant du charme aux écailles un clope au goulot un chapeau de fortune
Les poissons pris d’admiration comme jadis Michelle, se font béquotter aussi
sec.
Ce pêcheur du bord de l’eau attend-il sa perche comme sa Roxane au balcon,
Son destin bat de l’aile il changerait bien quelques traits de sa constitution
« Un si long bec, pratique je chasse, mais ces deux échasses,
Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ? »
Quant aux soirs de lune le cou les pognes enfoncées dans ses plumes,
On croit revoir, un Jean Gabin faire les cent pas sur le quai des brumes
Faisant du charme aux écailles un clope au goulot un chapeau de fortune
Les poissons pris d’admiration comme jadis Michelle, se font béquotter aussi
sec.
Ce pêcheur du bord de l’eau attend-il sa perche comme sa Roxane au balcon,
Cyrano.
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