Paroles de la chanson Rien Qui Depasse par Alfred Massaï
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Paroles de la chanson Rien Qui Depasse par Alfred Massaï
Y’a rien qui dépasse chaque chose à sa place
Y’a rien qui s’échappe pas d’retour en grâce
C’est la gravité qui prend tout l’espace
Toute parole scellée dans le marbre
Ça fait des lustres que tout est net, bien propre
Des années qu’aucun diable ne l’emporte
Qu’aucun coup d’vent ne vient claquer les portes
L’air y est figé qu’personne ne sorte
Refrain :
S’il fallait vivre vraiment
Serait-ce douloureux ?
S’il fallait vivre vraiment...
S’il fallait vivre vraiment
Y’a rien qui s’échappe pas d’retour en grâce
C’est la gravité qui prend tout l’espace
Toute parole scellée dans le marbre
Ça fait des lustres que tout est net, bien propre
Des années qu’aucun diable ne l’emporte
Qu’aucun coup d’vent ne vient claquer les portes
L’air y est figé qu’personne ne sorte
Refrain :
S’il fallait vivre vraiment
Serait-ce douloureux ?
S’il fallait vivre vraiment...
S’il fallait vivre vraiment
Serait-ce dangereux ?
S’il fallait vivre vraiment...
Pourtant de belles tentatives furent faites
Des envies de tout cramer en pure perte
De s’barrer sans r’garder ça en défaite
De pousser ces putains d’portes et fenêtres
Mais tout changement autour de toi fait trouble-fête
Les démons les anges sur tes épaules testent
Ta détermination à t’brûler les fesses
Mais tu t’couches toujours au dernier mètre
Refrain
C’est plus un tas qu’il y a sous l’tapis mec
C’est un appart avec cour un douze pièces
Un hôtel particulier où tu t’adresses
Pour caler en douce tes p’tites paresses
Le retour sur paysage est féroce
S’il fallait vivre vraiment...
Pourtant de belles tentatives furent faites
Des envies de tout cramer en pure perte
De s’barrer sans r’garder ça en défaite
De pousser ces putains d’portes et fenêtres
Mais tout changement autour de toi fait trouble-fête
Les démons les anges sur tes épaules testent
Ta détermination à t’brûler les fesses
Mais tu t’couches toujours au dernier mètre
Refrain
C’est plus un tas qu’il y a sous l’tapis mec
C’est un appart avec cour un douze pièces
Un hôtel particulier où tu t’adresses
Pour caler en douce tes p’tites paresses
Le retour sur paysage est féroce
De la colline au mont Blanc à l’Everest
C’est bien la vue qu’t’as sur tes rêves de gosse
Un sommet en sieste mais rien ne presse
C’est bien la vue qu’t’as sur tes rêves de gosse
Un sommet en sieste mais rien ne presse
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