Paroles de la chanson A deux pas par Alpha Wann
Chanson manquante pour "Alpha Wann" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "A deux pas"
Proposer une correction des paroles de "A deux pas"
Paroles de la chanson A deux pas par Alpha Wann
À deux pas de là
Mmmh, à deux pas de là
Ààà deux pas de là
Yeaah à deux pas de là
À deux pas de là
Aaaah
J'suis un mélange de principes et d'actions
Je ressemble à ma vie
Rare que j'passe une journée sans précipitation
Au bord du précipice, je n'ressens pas le vide
Le sourire crispé, la mauvaise parole s'propage, les écrits s'perdent
On roule dans une Chrysler, grise neuve
Ça parle rap, biz', entreprise, crise, meurtre
Tu l'sais déjà ce soir, les filles elles sont terribles
Mmmh, à deux pas de là
Ààà deux pas de là
Yeaah à deux pas de là
À deux pas de là
Aaaah
J'suis un mélange de principes et d'actions
Je ressemble à ma vie
Rare que j'passe une journée sans précipitation
Au bord du précipice, je n'ressens pas le vide
Le sourire crispé, la mauvaise parole s'propage, les écrits s'perdent
On roule dans une Chrysler, grise neuve
Ça parle rap, biz', entreprise, crise, meurtre
Tu l'sais déjà ce soir, les filles elles sont terribles
On traverse la ville et son périph'
Ouais, la vie et son périple
Atmosphère saturée de pollution
Qui peut renouveller l'air
Malgré la peur on ouvre les lèvres
J'ai l'souv'nir d'un rapeur d'une nouvelle ère
Le crime à deux pas
Loin du climat de peur
Il écrivait de tête
Criblé de balles
Parce qu'il était criblé de dettes
Son corps sur un vieux matelas
La vie et son périple
L'ironie de Paname
Ouais, la ville et son périph'
Alors qu'à deux pas d'là
À Porte Dauphine
On envoie du jeu aux filles
Ouais, la vie et son périple
Atmosphère saturée de pollution
Qui peut renouveller l'air
Malgré la peur on ouvre les lèvres
J'ai l'souv'nir d'un rapeur d'une nouvelle ère
Le crime à deux pas
Loin du climat de peur
Il écrivait de tête
Criblé de balles
Parce qu'il était criblé de dettes
Son corps sur un vieux matelas
La vie et son périple
L'ironie de Paname
Ouais, la ville et son périph'
Alors qu'à deux pas d'là
À Porte Dauphine
On envoie du jeu aux filles
Envoie leur profil
J'te l'dis d'office
Ce soir y'a beaucoup d'idiotes
Swag, Fendi, Gucci, Dior
Faut qu'elles se méfient des loups qui dorment
Faut qu'elles se méfient des loups qui dorment
Sous leurs griffes des los-ki d'or
C'est l'heure
Soit généreux, pas comme tous ces salauds qui donnent les leurs
Regarde un peu ce que tu deviens
T'es ingrat, tu bicraves ton âme au diable das un pochon de 21 grammes
On pleure ceux dans l'au-delà
Mais les morts ne versent pas de larmes
J'ai vu le lâche les bras tendus par le poids de l'âme
J'te l'dis d'office
Ce soir y'a beaucoup d'idiotes
Swag, Fendi, Gucci, Dior
Faut qu'elles se méfient des loups qui dorment
Faut qu'elles se méfient des loups qui dorment
Sous leurs griffes des los-ki d'or
C'est l'heure
Soit généreux, pas comme tous ces salauds qui donnent les leurs
Regarde un peu ce que tu deviens
T'es ingrat, tu bicraves ton âme au diable das un pochon de 21 grammes
On pleure ceux dans l'au-delà
Mais les morts ne versent pas de larmes
J'ai vu le lâche les bras tendus par le poids de l'âme
Soirée arrosée dans Paname et à deux pas de là
À deux pas de là, tu es à deux pas de là
On pleure ceux dans l'au-delà
Mais les morts ne versent pas de larmes
J'ai vu le lâche les mains tendues par le poids de l'âme
Soirée arrosée dans Paname et à deux pas de là
À deux pas de là, tu es à deux pas de là
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
Que d'animosité chez les humains
Autour du matelas on attend l'docteur
Pendant qu'des hommes naissent, d'autres meurent
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
À deux pas de là, tu es à deux pas de là
On pleure ceux dans l'au-delà
Mais les morts ne versent pas de larmes
J'ai vu le lâche les mains tendues par le poids de l'âme
Soirée arrosée dans Paname et à deux pas de là
À deux pas de là, tu es à deux pas de là
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
Que d'animosité chez les humains
Autour du matelas on attend l'docteur
Pendant qu'des hommes naissent, d'autres meurent
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
Que d'animosité chez les humains
Autour du matelas on attend l'docteur, a deux pas de là
Des hommes naissent et d'autres meurent
Sur le périphérique à fond, on fait ça comme dans les films
On s'arrête dans une station, on slalome entre les files
J'pense encore à cette belle femelle
J'reçois un SMS du tieks
Un jeune est décédé cette semaine
Pourquoi ils n'ont pas d'parapluie quand il pleut des balles ?
Par respect pour sa famille, j'donnerai pas plus de détails
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
Autour du matelas on attend l'docteur, a deux pas de là
Des hommes naissent et d'autres meurent
Sur le périphérique à fond, on fait ça comme dans les films
On s'arrête dans une station, on slalome entre les files
J'pense encore à cette belle femelle
J'reçois un SMS du tieks
Un jeune est décédé cette semaine
Pourquoi ils n'ont pas d'parapluie quand il pleut des balles ?
Par respect pour sa famille, j'donnerai pas plus de détails
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
Que d'animosité chez les humains
Il faut qu'on s'serre les coudes
Comme dans mon rêve où les renois
Niquent les statistiques et redressent les courbes
Niquent les statistiques et redressent les courbes
Flingue et feu !
On pleure ceux dans l'au-delà
Mais les morts ne versent pas de larmes
J'ai vu le lâche les bras tendus par le poids de l'âme
Soirée arrosée dans Paname et à deux pas de là
À deux pas de là, tu es à deux pas de là
On pleure ceux dans l'au-delà
Mais les morts ne versent pas de larmes
Il faut qu'on s'serre les coudes
Comme dans mon rêve où les renois
Niquent les statistiques et redressent les courbes
Niquent les statistiques et redressent les courbes
Flingue et feu !
On pleure ceux dans l'au-delà
Mais les morts ne versent pas de larmes
J'ai vu le lâche les bras tendus par le poids de l'âme
Soirée arrosée dans Paname et à deux pas de là
À deux pas de là, tu es à deux pas de là
On pleure ceux dans l'au-delà
Mais les morts ne versent pas de larmes
J'ai vu le lâche les mains tendues par le poids de l'âme
Soirée arrosée dans Paname et à deux pas de là
À deux pas de là, tu es à deux pas de là
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
Que d'animosité chez les humains
Autour du matelas on attend l'docteur
Pendant qu'des hommes naissent, d'autres meurent
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
Que d'animosité chez les humains
Autour du matelas on attend l'docteur
Autour du matelas on attend l'docteur, a deux pas de là
Des hommes naissent et d'autres meurent
Soirée arrosée dans Paname et à deux pas de là
À deux pas de là, tu es à deux pas de là
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
Que d'animosité chez les humains
Autour du matelas on attend l'docteur
Pendant qu'des hommes naissent, d'autres meurent
Ah, quand est-c'qu'on assume, hein ?
J'ai vu autant d'humanité chez les animaux
Que d'animosité chez les humains
Autour du matelas on attend l'docteur
Autour du matelas on attend l'docteur, a deux pas de là
Des hommes naissent et d'autres meurent
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)