Paroles de la chanson Le Festin par Al'Tarba

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Paroles de la chanson Le Festin par Al'Tarba

Je remercie l'Ours, sa peau me préserve du froid
Le conte est flou car les gens ne savent pas
Même si j'échoue j'veux tous vous voir témoigner
J'veillerais sur vous auprès des Dieux du Valhalla
Levez les bras, levez les armes,
À mon signal à l'attaque
Avec moi Sad-Vice, avec moi Rhama, avec Al'Tarba
Détournez l'or mes canailles
Les gens me dévisage dans les forêts comme un voyou
Je longe le rivage, trouve des corps dans le bayou
Et je vois des visages dans les objets,
Dans les cailloux, agnou
"Part, ne reste pas là, ou la vallée t'ensorcelle
Si tu veux t'en sortir, reste pas en son sein"
Tu parles sans savoir vieille. avec quels démons
Je suis associé
Si t'as une maison de verre,
Ne joue pas avec les rochers
Au bout d'ma lance de fer,
Des dizaines de têtes embrochées
Les p'tits poissons d'eau claire
Se font bouffer par les brochets
Faut écouter sonner l'clochet
La légende s'opère, je ressens les membres fantômes
À présent mon frère,
Je pars au devant de cent hommes
L'hécatombe, les corps tombe,
Le sang jonche la terre
J'ai épargné une tête pour raconter l'homme au centaure
Woo, chaque soir c'est le festin pour ma putain d'meute
Ramène tripes et intestins c'est le butin d'la meute
Allume l'essence, rallume l'essence,
Allume lenssence boy
Dans des parades immones
Les drogues montent et descendent
Frere des ombres et des cendres,
J'vais pas t'montrer l'exemple!
Qui va déranger la fête,
C'est déjà l'enfer sur nos feuilles,
J'ai appris comment faire la guerre,
Je voulais me décoller la plèbe,
Et je découpe tous les jours les Mc's sous la douche.
On roule toujours pour Toulouse 31 ma couille,
On couche tous ces clowns
Qui nous prenaient pour des fous,
La route est cool quand je roule 12 bazoo par jours
Oki doki les deux yeux couleur kaki,
C'est rhama le monkey, on conquit le maquis.
Faut remplir le cadi, mon cerveau un taudis,
Une orange mécanique
Depuis tipeu j'ai agrandi ma toile,
J'étais qu'un visage pâle et elle m'oubliera pas.
Pas le temps de penser au Nicaragua
Je vois la concu qui avale comme des piranhas,
Qui peut raconter la fin de l'histoire
On a aucun message on est comme coquillage.
Ca va défourailler comme Nikita,
Je vis sous le village il y a que les journées qui passent.
Je ne fais pas de sentiment,
Rempli mon grimoire pour tous
Mes raclos qui nage sur bateau pirate,
Je connais l'histoire c'est la bérézina
On s'accroche au virage mais la route est si noire
Arnaques et faussaires dans mes contes et legendes
Quand ils pendent les sorcieres
Les demons les entendent
Dans des parades immondes
Les drogues montent et descendent
Frere des ombres et des cendres
J'vais pas te montrere l'exemple
J'ecris sur les mur du chateau de barbe bleu
Cendrillon prend blanche neige dans un bar de gueush
T'a mi la ptate dans l'piege et ton ame se meure
Et l'etat voudrait te faire alors berbe le
Le festin d'la meute j'bouffe la gratte come hendrix,
Chaque soir
J'mallume la guele comme dans l'clip de kenrick lamar
(La marée noire) monte comme la colere de ceux
Qui virent le tonnerre de zeus
Dans les ovaire de dieu
Les 21 grammes que l'on perd quand on crève
Ne crois pas que ce soit le poids de l'âme
C'est juste que ton sphincter se desserre
Et ta carcasse libère ce qu'il te reste de merde.
Ca va chier c'est sûr, il y a qu'à cravacher dur
S'accaparer des murs avant de caner déçu
Le balafré aime bruler cette satanée
Laitue et crache des méduses.
J'cassais des nuques dès le départ
Pour parler j'écluse elle a palpé mes burnes
J' ai empoigné son cul mais hélas
Il n'y a pas eu de collision entre Mars et Vénus
L'univers est macabre
Je l'ai vu j'avais fait que 4 fois le tour de cette fidèle étoile.
Rivière de Magma, le cri de guerre c'est Dac dac!
Je digère mes chats noirs et kick tel un mage.
Conjure possessions,
Sortileges on te montre
Une somptueuse collection d'opinel
Le sexe et la mort l'obsession quotidienne
Sur le terreau du vice les démons prolifèrent,
Et c'est puant quand sa tourne au vinaigre sois prudent
De fourbes chimères poussent
Des hurlements de loups solitaires
Avec les os de vipères je fais des cure-dents.
Des vampires au crocs gilette exultent en buvant du sang
Et tu demandes une ambulance d'urgence,
Quand la bolivienne est fulgurante.
Dans cette sombre forêt faut du plomb pour vos binettes,
J'ai le flow chevrotine,
Depuis des temps immémoriaux je vis dans l'indicible,
Je fais pas de fantaisies, je suis dans l'horreur cosmique

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