Paroles de la chanson Le Village par Amoranno

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Paroles de la chanson Le Village par Amoranno

Et je pars à l’école
Le matin j’suis encore dans ma bulle
J’me mens à moi même
quand j’dis que les choses ne changent pas
Un pic
Une lueur d’espoir
Il reste
J’fais plus la bise aux connes
Mon regard ne trompe pas
A mon sourire,
Tu peux le voir direct

Les lumières s’éteignent bienvenue au Village
Dans ma tour on cherche pas l’argent
Et même si t’as pris,
Le mauvais virage

On peut pas juger qui est vraiment l’homme

Quand elle me veut j’la fuis
Quand elle me fuit j’la veux
Bébé comprends moi je fais pas de grands aveux
Et par moments entre nous
J’ai envie de lâcher
Je préfère être aveugle
Que de vivre caché
Personne me dira qui j’suis censé être
Comme la mort n’est pas la poste,
Elle viendra me chercher dans les bons délais
Je pars pas en vacances cette année
Je vais tromper le manque à Paris
Le bien être j’vais m’en accaparer
J’me forcerais plus
A plaire aux filles

J’tire mes cheveux, j’veux pas y arriver
Y arriver c’est aussi la fin de la route
La nature vaut le prix du monde
Pourtant c’est pas dans les arbres qu’l’argent pousse

J’m’évade dans les basses
Papa en cours n’écoutait pas
J’vais t’dire les chiens font pas des chats
Laisse moi m’enfuir
Laisse moi m’enfuir

J’revois encore ses deux mains
Quand j’avais froid me donner son écharpe
Laisse-moi m'enfuir

J’tire encore une taff et je cendre
Une homme qui vit sans peurs non c’est pas un homme

Et j’traine dans le trom
Parisiens
Quelque grammes en plus on s’est croisés
Par hasard
Si aujourd’hui tu me mens
Qu’est ce que tu m’feras demain
Vaut mieux qu’on prenne nos distances
Si plus tard dans ma vie j’veux être bien

J’dors pas de la nuit le matin j’suis éclaté
Pourtant le soir j’y pense
Regarde mes yeux il semble que
Mes pupilles soient plutôt élégantes
Ta pote est un peu du genre bornée, mais quand j’suis là, change directement
Ta pote est un peu du genre bornée

J’tire mes cheveux, j’veux pas y arriver
Y arriver c’est aussi la fin de la route
La nature vaut le prix du monde
Pourtant c’est pas dans les arbres qu’l’argent pousse

J’tire mes cheveux, j’veux pas y arriver
Y arriver c’est aussi la fin de la route
La nature vaut le prix du monde
Pourtant c’est pas dans les arbres qu’l’argent pousse

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