Paroles de la chanson La Bataille Du Sucre par Ange
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Paroles de la chanson La Bataille Du Sucre par Ange
{Le conteur:}
C'était en deux mille quinze
Et Noël approchait
Et comme en quinze cent quinze
Les enfants attendaient
Le problème était là,
Bien fier devant nos portes
Nous étions blêmes et las
Devant le grand cloporte
N'y avait plus de sucre
La Terre n'en donnait plus
L'avait creusé sépulcre
Et ne répondait plus !
A un prix d'or
Sœur Saccharine vendait ses prières, Le Beau
C'était en deux mille quinze
Et Noël approchait
Et comme en quinze cent quinze
Les enfants attendaient
Le problème était là,
Bien fier devant nos portes
Nous étions blêmes et las
Devant le grand cloporte
N'y avait plus de sucre
La Terre n'en donnait plus
L'avait creusé sépulcre
Et ne répondait plus !
A un prix d'or
Sœur Saccharine vendait ses prières, Le Beau
Oui mais alors,
Plus rien ne sert de racler la pierre ! Le Niais
{Le conteur:}
C'était en deux mille quinze
Et Noël approchait
Et comme en quinze cent quinze
Les enfants attendaient,
Et les heures qui filaient
Aussi promptes que l'oiseau
Et les chiens qui crevaient
A renifler de l'eau
N'y avait plus de sel
La Terre n'en donnait plus,
Pour faire du sucre on prit du sel,
Deux mille quatorze ou treize, je ne sais plus !
{L'enfant:}
Plus rien ne sert de racler la pierre ! Le Niais
{Le conteur:}
C'était en deux mille quinze
Et Noël approchait
Et comme en quinze cent quinze
Les enfants attendaient,
Et les heures qui filaient
Aussi promptes que l'oiseau
Et les chiens qui crevaient
A renifler de l'eau
N'y avait plus de sel
La Terre n'en donnait plus,
Pour faire du sucre on prit du sel,
Deux mille quatorze ou treize, je ne sais plus !
{L'enfant:}
Et le béton toujours vainqueur
Semait tristesse sur notre atoll,
Faisant valser nos cœurs-moteur
En une morne farandole
{Le conteur:}
C'était en deux mille quinze
Et Noël arriva
Ce fut un deux mille quinze
Pour les enfants sans joie,
Devant leurs verts sapins
Aux branchages plastiques,
Comme des santons-pantins
En serviettes périodiques,
Leurs visages grisaillèrent,
Leurs yeux devinrent néons,
Ils auraient fait la guerre
Pour sucer un bonbon !
Semait tristesse sur notre atoll,
Faisant valser nos cœurs-moteur
En une morne farandole
{Le conteur:}
C'était en deux mille quinze
Et Noël arriva
Ce fut un deux mille quinze
Pour les enfants sans joie,
Devant leurs verts sapins
Aux branchages plastiques,
Comme des santons-pantins
En serviettes périodiques,
Leurs visages grisaillèrent,
Leurs yeux devinrent néons,
Ils auraient fait la guerre
Pour sucer un bonbon !
Les enfants s'éteignirent
Un à un en pleurant,
Rendirent dernier soupir,
Devinrent beaux comme avant.
Indifférents et délaissant le drame,
Les parents assoiffés léchèrent les larmes
De leurs enfants frustrés,
Pourquoi me direz-vous ?
Parce qu'elles étaient sucrées !
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