Paroles de la chanson Douleurs profondes par Antilop Sa.
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Paroles de la chanson Douleurs profondes par Antilop Sa.
Ils se sont rencontrés en plein Paris, tout était clair pour eux
Juste un sourire, un regard pour tomber follement amoureux
La suite, un resto, où ils échangèrent leur premier baiser
Unis pour la vie, à cet instant ils l'ont realisé
Les mois passent, et les années défilent
Ils s'aiment toujours autant au taf, s'le disent au bout du fil
Et puis vient la nouvelle, elle lui annonce, elle est enceinte
Lui de joie saute, court acheter vêtements et poussette
Peint sa chambre en bleu
Juste un sourire, un regard pour tomber follement amoureux
La suite, un resto, où ils échangèrent leur premier baiser
Unis pour la vie, à cet instant ils l'ont realisé
Les mois passent, et les années défilent
Ils s'aiment toujours autant au taf, s'le disent au bout du fil
Et puis vient la nouvelle, elle lui annonce, elle est enceinte
Lui de joie saute, court acheter vêtements et poussette
Peint sa chambre en bleu
Plein de peluches, le berceau au milieu
Si c'est un fils, il l'appelera comme son père Émilien
Si c'est une fille, commun accord, l'appeleront Émilie
Ils sont heureux, à l'échographie, ils sourient c'est un garçon
Devant l'médecin, oublient d'rester sereins
Joie et larmes, c'est l'émotion qui a pris le dessus
Sept mois plus tard, il donne des coups, elle le sent
Sept mois plus tard, il donne des coups, elle le sent
Grossesse à terme, elle va mettre au monde
Il la soutient, elle est en larmes, sent une douleur profonde
Et les visages s'crispent comme celui de la Joconde
Si c'est un fils, il l'appelera comme son père Émilien
Si c'est une fille, commun accord, l'appeleront Émilie
Ils sont heureux, à l'échographie, ils sourient c'est un garçon
Devant l'médecin, oublient d'rester sereins
Joie et larmes, c'est l'émotion qui a pris le dessus
Sept mois plus tard, il donne des coups, elle le sent
Sept mois plus tard, il donne des coups, elle le sent
Grossesse à terme, elle va mettre au monde
Il la soutient, elle est en larmes, sent une douleur profonde
Et les visages s'crispent comme celui de la Joconde
Chaque seconde, même scénario à l'autre bout du monde
Complications, transpiration, respiration, expiration
L'destin en a voulu ainsi
Il coupera le souffle au nourrisson
Plus rien à faire, l'diable est borné
Elle a tout donné, mais l'enfant naîtra mort-né
À toutes ces douleurs profondes
En bas de chez toi, au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
J'dédie mes rêves si sombres
À toutes ces douleurs profondes
Chaque seconde au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
Sous les balles ou les bombes
Complications, transpiration, respiration, expiration
L'destin en a voulu ainsi
Il coupera le souffle au nourrisson
Plus rien à faire, l'diable est borné
Elle a tout donné, mais l'enfant naîtra mort-né
À toutes ces douleurs profondes
En bas de chez toi, au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
J'dédie mes rêves si sombres
À toutes ces douleurs profondes
Chaque seconde au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
Sous les balles ou les bombes
Tout seul dans cette pièce, il est en larmes et regarde les mois qui passent
Esseulé, sa femme, ses mômes viendront plus le consoler
Il demande pardon mais c'est trop tard, tout seul s'est mis en tort
L'adultère, ça brise un couple et attire les vautours
Il est si seul, regrette tellement vu qu'il a tout perdu
Écrit des lettres, noie son malheur dans des bouteilles d'alcool
Mais elle s'en fout, pense à son p'tit mot signé Anne-Sophie
Toutes ces absences où il prétextait qu'il travaillait tard
Elle s'en rend compte, son mari n'est qu'un vulgaire menteur
Il implore, elle lui dit "t'faire souffrir, c'est à mon tour"
Lui supplie, répète ses phrases comme une boucle samplée
Demande pardon mais c'est trop tard, l'aider personne peut
Il a trop mal, il en a marre de ca
N'a pas supporté, la fin, une balle, une marre de sang
Minuit moins l'quart, premier juillet heure du décès
Douleur profonde, ce qui nous affecte, ce qui nous a blessés
À toutes ces douleurs profondes
En bas de chez toi, au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
J'dédie mes rêves si sombres
Lui supplie, répète ses phrases comme une boucle samplée
Demande pardon mais c'est trop tard, l'aider personne peut
Il a trop mal, il en a marre de ca
N'a pas supporté, la fin, une balle, une marre de sang
Minuit moins l'quart, premier juillet heure du décès
Douleur profonde, ce qui nous affecte, ce qui nous a blessés
À toutes ces douleurs profondes
En bas de chez toi, au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
J'dédie mes rêves si sombres
À toutes ces douleurs profondes
Chaque seconde au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
Sous les balles ou les bombes
On est en plein été, comme d'hab c'est l'bled ou squatter la cité
Pleine à craquer, où s'vident cannettes et chips en gros paquets
Le soleil brûle, vingt-huit degrés, on frôle la canicule
Le shit s'effrite et la galère s'écrit en majuscules
Les petits hurlent, les voisins râlent apres eux
Les Musulmans d'la cité passent leur temps à prier
Une journée banale, partie d'foot au terrain d'à côté
Chaque seconde au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
Sous les balles ou les bombes
On est en plein été, comme d'hab c'est l'bled ou squatter la cité
Pleine à craquer, où s'vident cannettes et chips en gros paquets
Le soleil brûle, vingt-huit degrés, on frôle la canicule
Le shit s'effrite et la galère s'écrit en majuscules
Les petits hurlent, les voisins râlent apres eux
Les Musulmans d'la cité passent leur temps à prier
Une journée banale, partie d'foot au terrain d'à côté
Bonne ambiance, la journée s'achève dans l'hilarité
Mais c'jour-là, la vie nous a montré sa cruauté
Il est sept heures, le petit Mourad pour lui c'est assez tard
Quitte le parc, accompagné par Franky et Moktar
En traversant Mourad s'est fait faucher par un motard
Il n'est pas mort, mais dans ses jambes plus aucun moteur
Destin tragique, Mourad désormais est paraplégique
Il regarde ses potes, cloué à vie dans son fauteuil roulant
Jouer au foot, mais dites-moi à qui ces malheurs profitent
Mais c'jour-là, la vie nous a montré sa cruauté
Il est sept heures, le petit Mourad pour lui c'est assez tard
Quitte le parc, accompagné par Franky et Moktar
En traversant Mourad s'est fait faucher par un motard
Il n'est pas mort, mais dans ses jambes plus aucun moteur
Destin tragique, Mourad désormais est paraplégique
Il regarde ses potes, cloué à vie dans son fauteuil roulant
Jouer au foot, mais dites-moi à qui ces malheurs profitent
À toutes ces douleurs profondes
En bas de chez toi, au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
J'dédie mes rêves si sombres
À toutes ces douleurs profondes
Chaque seconde au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
Sous les balles ou les bombes
À toutes ces douleurs profondes
En bas de chez toi, au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
J'dédie mes rêves si sombres
À toutes ces douleurs profondes
Chaque seconde au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
Sous les balles ou les bombes
En bas de chez toi, au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
J'dédie mes rêves si sombres
À toutes ces douleurs profondes
Chaque seconde au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
Sous les balles ou les bombes
À toutes ces douleurs profondes
En bas de chez toi, au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
J'dédie mes rêves si sombres
À toutes ces douleurs profondes
Chaque seconde au bout du monde
À toutes ces âmes qui succombent
Sous les balles ou les bombes
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