Paroles de la chanson Les Restes Du Coeur par Au Comptoir Des Histoires
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Paroles de la chanson Les Restes Du Coeur par Au Comptoir Des Histoires
Quand j’ai pris mes quartiers dans cette impasse
Ce n’était que passager, juste le temps que ça passe.
Pour pouvoir me refaire, le temps de rebondir
Mais depuis quelques années, je vois les rebonds s’amortir.
Moi, ma vie privée, se passe sur la voie publique.
Une vie pourtant privée de l’attention du public.
J’avais peur au début d’affronter les regards.
Ouais, j’avais peur au début, mais les gens passent sans me voir.
Ce n’était que passager, juste le temps que ça passe.
Pour pouvoir me refaire, le temps de rebondir
Mais depuis quelques années, je vois les rebonds s’amortir.
Moi, ma vie privée, se passe sur la voie publique.
Une vie pourtant privée de l’attention du public.
J’avais peur au début d’affronter les regards.
Ouais, j’avais peur au début, mais les gens passent sans me voir.
Les passants passent, pressés et me dépassent.
Moi, je voudrais aussi pouvoir me presser ainsi.
Ça donnerait de la résonance à mes silences.
Ça donnerait de la consistance à mon errance.
Les passants passent pressés, ça me dépasse.
Et paraissent voguer vers un endroit bien précis.
Moi, je paraisse à mon gré, je me prélasse.
On ne se presse pas quand on ne sait pas où on va.
Moi, ma vie privée, se passe sur la voie publique.
Une vie pourtant privée de l’attention du public.
J’avais peur au début d’affronter les regards.
J’avais peur au début, mais les gens passent sans me voir.
Moi, je voudrais aussi pouvoir me presser ainsi.
Ça donnerait de la résonance à mes silences.
Ça donnerait de la consistance à mon errance.
Les passants passent pressés, ça me dépasse.
Et paraissent voguer vers un endroit bien précis.
Moi, je paraisse à mon gré, je me prélasse.
On ne se presse pas quand on ne sait pas où on va.
Moi, ma vie privée, se passe sur la voie publique.
Une vie pourtant privée de l’attention du public.
J’avais peur au début d’affronter les regards.
J’avais peur au début, mais les gens passent sans me voir.
Bien que la mienne fut filante, elle ne m’a pas porté chance.
Le soir, je me couche à la belle,
Car je ne suis pas né sous la bonne.
Et toi le gars qui fait comme s’il ne m’avait pas vu.
Tu le fais si bien qu’on t’aurait presque cru.
Je sens cette troublante indifférence,
Au point de me faire douter de ma propre existence.
Car moi, ma vie privée, se passe sur la voie publique
Une vie pourtant privée de l’attention du public.
J’avais peur au début d’affronter les regards.
J’avais peur au début, mais les gens passent sans me voir.
Je suis noyé au milieu de ces enfoirés.
Peut-être là, peut-être mort, comme fondu dans ce décor.
Je leur fais peine, ils me font peur.
Mais j’aurai peut-être à becter, s’il leur reste du cœur.
Mes cabas, mon caddie, mon sac à dos
Oh ma galère, mon carton, mon caniveau
Oh ma colère, mon calva, mon cabot
Oh mon calvaire, mon cadavre, mon caveau !
Oh mon calvaire, mon cadavre, mon caveau !
Mon calvaire, mon cadavre, mon caveau !
Je suis noyé au milieu de ces enfoirés.
Peut-être là, peut-être mort, comme fondu dans ce décor.
Je leur fais peine, ils me font peur.
Mais j’aurai peut-être à becter, s’il leur reste du cœur.
Mes cabas, mon caddie, mon sac à dos
Oh ma galère, mon carton, mon caniveau
Oh ma colère, mon calva, mon cabot
Oh mon calvaire, mon cadavre, mon caveau !
Oh mon calvaire, mon cadavre, mon caveau !
Mon calvaire, mon cadavre, mon caveau !
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