Paroles de la chanson Rien Ne S Eternise par Axel Zimmerman
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Paroles de la chanson Rien Ne S Eternise par Axel Zimmerman
Il a gardé son travail, toute sa vie, il est resté sur les rails.
Chaque matin, il s'est levé avec, au ventre, la peur de manquer.
Il n'est pas souvent parti en vacances, peut-être une fois dans le sud de la France.
Dans son petit appartement usé, il ne s'est pas beaucoup amusé.
Puis un jour, il est parti, il n'était pas si vieux.
Le Mont Blanc, d'être près de lui, c'était son dernier vœu.
Son seul regret, c'était, la valise, qu'on ne l'ait jamais appelé pour la surprise.
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
Chaque matin, il s'est levé avec, au ventre, la peur de manquer.
Il n'est pas souvent parti en vacances, peut-être une fois dans le sud de la France.
Dans son petit appartement usé, il ne s'est pas beaucoup amusé.
Puis un jour, il est parti, il n'était pas si vieux.
Le Mont Blanc, d'être près de lui, c'était son dernier vœu.
Son seul regret, c'était, la valise, qu'on ne l'ait jamais appelé pour la surprise.
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
Il empruntait à mobylette, les rues du Vieux Lyon, il trouvait ça, chouette.
Pas une fois en retard, il craignait trop qu'on lui dise au revoir.
Il a fait ses petites économies, pas non plus de quoi s'acheter un pays.
Il n'a pas connu beaucoup d'aventures, fallait d'abord payer les factures.
Puis un jour, il est parti, il n'était pas si vieux.
Le Mont Blanc, d'être près de lui, c'était son dernier vœu.
Son seul regret, c'était, la valise, qu'on ne l'ait jamais appelé pour la surprise.
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
Et même si on n's'est pas beaucoup connus.
Même si on n's'est parfois qu'entrevus.
Je sais qu'tu n'étais pas un grand causeur.
Mais ça, oui, t'en avais du cœur.
Tous les jours ; rasé, impeccable.
L'eau de Cologne, ça, c'était discutable.
Aujourd'hui, c'est ton anniversaire.
T'aurais eu 100 ans, grand-père.
Puis un jour, tu es parti, tu n'étais pas si vieux.
Le Mont Blanc, d'être près de lui, c'était ton dernier vœu.
Mais quand tu es parti, étais-tu heureux ?
Le Mont Blanc, d'être près de lui, c'était ton dernier vœu.
Ton seul regret, c'était, la valise, qu'on ne t'ait jamais appelé pour la surprise.
Même si on n's'est parfois qu'entrevus.
Je sais qu'tu n'étais pas un grand causeur.
Mais ça, oui, t'en avais du cœur.
Tous les jours ; rasé, impeccable.
L'eau de Cologne, ça, c'était discutable.
Aujourd'hui, c'est ton anniversaire.
T'aurais eu 100 ans, grand-père.
Puis un jour, tu es parti, tu n'étais pas si vieux.
Le Mont Blanc, d'être près de lui, c'était ton dernier vœu.
Mais quand tu es parti, étais-tu heureux ?
Le Mont Blanc, d'être près de lui, c'était ton dernier vœu.
Ton seul regret, c'était, la valise, qu'on ne t'ait jamais appelé pour la surprise.
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
J'me rappelle, j'me rappelle, j'me rappelle…
Moi, j'me rappelle, j'me rappelle, j'me rappelle…
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
J'me rappelle, j'me rappelle, j'me rappelle…
Moi, j'me rappelle, j'me rappelle, j'me rappelle…
Moi, j'me rappelle que rien ne s'éternise.
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