Paroles de la chanson Version : Pandemonium par Baculum
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Paroles de la chanson Version : Pandemonium par Baculum
J’ai pas d’argent dans les doigts
Fit du ciel et de ses lois !
J’ai foutu Sisyphe
Sur un transpalette
Je cultive la syphilis
C’est des daronnes que j’allaite
Tout tes « Te Deum » me foutent un sale mood
Mon tonnerre du seum conçoit son Talmud
Prophète du doom à la con
Je m’en bas les couilles d’avoir raison
Au Nirvana paralytique
Fit du ciel et de ses lois !
J’ai foutu Sisyphe
Sur un transpalette
Je cultive la syphilis
C’est des daronnes que j’allaite
Tout tes « Te Deum » me foutent un sale mood
Mon tonnerre du seum conçoit son Talmud
Prophète du doom à la con
Je m’en bas les couilles d’avoir raison
Au Nirvana paralytique
La providence Pandémoniaque
Qui te sauvera de toi même ?
Qui va manger tout ce sel ?
Pourquoi maquiller les morts ?
C’est l’trou qu’on enterre !
Maintenant que les gargouilles dansent
Tout autour de moi, que la souffrance
Et l’agonie brillent dans mes yeux
Tels des anges à qui l’ont donnerait Dieu…
Je suis venu te dire que je reste
Que je tapine l’ante-christ
Et qu’à l’amour je préfère la masturbation
Coûtant moins d’efforts, de conversations
Qui te sauvera de toi même ?
Qui va manger tout ce sel ?
Pourquoi maquiller les morts ?
C’est l’trou qu’on enterre !
Maintenant que les gargouilles dansent
Tout autour de moi, que la souffrance
Et l’agonie brillent dans mes yeux
Tels des anges à qui l’ont donnerait Dieu…
Je suis venu te dire que je reste
Que je tapine l’ante-christ
Et qu’à l’amour je préfère la masturbation
Coûtant moins d’efforts, de conversations
Je suis venu te dire que je reste
Que les brûlures
Sur ma peau manifestent
Que douleurs et tortures
Sont chimères qu’arborent aucunes couleurs
Fouillis du cuir qu’on embrase
Phallus tordu dans l’extase
Hardi du pire dans sa stase
Prépare l’or fondu de l’epectase
J’tire la gueule à Walibi
J’veux pas d’putes à Miami
Du rhum d’occaz’ dope ma sémantique
Donc pogrom d’oukase sur tout ces catholiques
Que les brûlures
Sur ma peau manifestent
Que douleurs et tortures
Sont chimères qu’arborent aucunes couleurs
Fouillis du cuir qu’on embrase
Phallus tordu dans l’extase
Hardi du pire dans sa stase
Prépare l’or fondu de l’epectase
J’tire la gueule à Walibi
J’veux pas d’putes à Miami
Du rhum d’occaz’ dope ma sémantique
Donc pogrom d’oukase sur tout ces catholiques
J'me branle dans leurs hérésies
D'leurs sang bulle mon jacuzzi
Les doigts dans la prise
Je suis sous l’emprise
J'veux la coke à Spielberg
Et puis deux gosses trisomiques
De mon râle parfait
S’expulse un mâle raté
Un âne bâté
A l’âme mal lavé
De mon râle parfait
S’expulse un mâle raté
Un âne bâté
A l’âme mal lavé
D'leurs sang bulle mon jacuzzi
Les doigts dans la prise
Je suis sous l’emprise
J'veux la coke à Spielberg
Et puis deux gosses trisomiques
De mon râle parfait
S’expulse un mâle raté
Un âne bâté
A l’âme mal lavé
De mon râle parfait
S’expulse un mâle raté
Un âne bâté
A l’âme mal lavé
Un âne bâté
A l’âme mal lavé
Je suis venu te dire que je reste
Que je tapine l’ante-christ
Et qu’à l’amour je préfère la masturbation
Coûtant moins d’efforts, de conversations
Je suis venu te dire que je reste
Que les brûlures
Sur ma peau manifestent
Que douleurs et tortures
Sont chimères qu’arborent aucunes couleurs
Je ne suis plus à vendre
Je ne veux plus me pendre
Maigre et sans buts d’vant les cendres
Ère Belzébuth sans l’essence
Tout est pur dans sa raie
Je ne suis plus à vendre
Je ne veux plus me pendre
Maigre et sans buts d’vant les cendres
Ère Belzébuth sans l’essence
Tout est pur dans sa raie
Si sûre d’elle, pourtant si duper
Dans son gilet par balle
Tout ça à cause du père
Des transfert-anse et la transe et les trans
Dans la cave où je pense jamais sans pensées rance
Je suis venu te dire que je reste
Tout est pur dans sa raie
Je ne suis plus à vendre
Je ne veux plus me pendre
Maigre et sans buts d’vant les cendres
Ère Belzébuth sans l’essence
Tout est pur dans sa raie
Si sûre d’elle, pourtant si duper
Dans son gilet par balle
Tout ça à cause du père
Des transfert-anse et la transe et les trans
Dans la cave où je pense jamais sans pensées rance
Je suis venu te dire que je reste
Que je tapine l’ante-christ
Et qu’à l’amour je préfère la masturbation
Coûtant moins d’efforts, de conversations
Je suis venu te dire que je reste
Que les brûlures
Sur ma peau manifestent
Que douleurs et tortures
Sont chimères qu’arborent aucunes couleurs
Je suis venu te dire que je reste
Que je tapine l’ante-christ
Et qu’à l’amour je préfère la masturbation
Coûtant moins d’efforts, de conversations
Je suis venu te dire que je reste
Que les brûlures
Sur ma peau manifestent
Et qu’à l’amour je préfère la masturbation
Coûtant moins d’efforts, de conversations
Je suis venu te dire que je reste
Que les brûlures
Sur ma peau manifestent
Que douleurs et tortures
Sont chimères qu’arborent aucunes couleurs
Je suis venu te dire que je reste
Que je tapine l’ante-christ
Et qu’à l’amour je préfère la masturbation
Coûtant moins d’efforts, de conversations
Je suis venu te dire que je reste
Que les brûlures
Sur ma peau manifestent
Que douleurs et tortures
Sont chimères qu’arborent aucunes couleurs
Sont chimères qu’arborent aucunes couleurs
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