Paroles de la chanson Vivre Avec par Baddack
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Paroles de la chanson Vivre Avec par Baddack
Faut rester fort il faut faire face hein, c’est ce qu’on m’a dit mon frère
Ça roule des cônes en flèches esquive les coups que la vie assène
La nuit je m’enfuis, chez le dispensaire cherche un remède pour combler le vide
Je voulais être bon mais je suis pleins de vices
Je garde l’essentiel j’ai tej tout le reste, j’ai viré tout ce qui me tuait
J’écris un texte je me vide la tête le temps s’arrête quand je te regarde
Une main dans tes cheveux, l’autre sur le pétard
Qu’est ce que j’aime le bleu de tes yeux, te sentir près de moi quand il se fait tard
Mais c’est fini ouais j’ai filé,
Ça roule des cônes en flèches esquive les coups que la vie assène
La nuit je m’enfuis, chez le dispensaire cherche un remède pour combler le vide
Je voulais être bon mais je suis pleins de vices
Je garde l’essentiel j’ai tej tout le reste, j’ai viré tout ce qui me tuait
J’écris un texte je me vide la tête le temps s’arrête quand je te regarde
Une main dans tes cheveux, l’autre sur le pétard
Qu’est ce que j’aime le bleu de tes yeux, te sentir près de moi quand il se fait tard
Mais c’est fini ouais j’ai filé,
J’serai heureux avec une autre je suis pas heureux avec moi-même
Le diable est l’invité, mon cœur son hôte
J’ai lévité autour du globe, dans la Vittel je mélange le rhum
La nuit m’enlace jusqu’à très tard, je pense à mon père toutes ses menaces
Après minuit ça crache des flammes, je me fais un pers ça calme ma rage
J’me suis du-per à trop penser, j’me suis surpris à déprimer
J’me suis ruiné sans le calculer
Je fais des cauchemars, c’était rare les nuits sans cris, le daron qui re-pète un câble et ce qui s’en suit
Je me suis bâti dans la douleur, quand je vais bien je sais plus qui je suis
J’observe un monde sans couleur aromatisé au shit
Le diable est l’invité, mon cœur son hôte
J’ai lévité autour du globe, dans la Vittel je mélange le rhum
La nuit m’enlace jusqu’à très tard, je pense à mon père toutes ses menaces
Après minuit ça crache des flammes, je me fais un pers ça calme ma rage
J’me suis du-per à trop penser, j’me suis surpris à déprimer
J’me suis ruiné sans le calculer
Je fais des cauchemars, c’était rare les nuits sans cris, le daron qui re-pète un câble et ce qui s’en suit
Je me suis bâti dans la douleur, quand je vais bien je sais plus qui je suis
J’observe un monde sans couleur aromatisé au shit
Aussitôt je me suis levé je me suis refait un bédo, repris le texte de la veille avant d’en écrire un nouveau
On va tout prendre quitte à le voler, je veux plus être pauvre, être en galère le 15 du mois
Il faut faire le casse du siècle sans avoir à sortir d’armes
Les joues de ma mère sont creusées par les larmes, un rocher érodé par les vagues de la vie
Toute ma jeunesse à courir pour des tals, parler au tel on évite
Tu penses qu’au tel-hô, aux bitchs, je veux juste me sentir en vie
J’ai le cœur vide je crois, le remplir vite je devrais
J’ai pris carré-croix par toi et tes faux-airs
Maintenant que j’suis dans le trou, dites-moi qui l’a creusé ?
On va tout prendre quitte à le voler, je veux plus être pauvre, être en galère le 15 du mois
Il faut faire le casse du siècle sans avoir à sortir d’armes
Les joues de ma mère sont creusées par les larmes, un rocher érodé par les vagues de la vie
Toute ma jeunesse à courir pour des tals, parler au tel on évite
Tu penses qu’au tel-hô, aux bitchs, je veux juste me sentir en vie
J’ai le cœur vide je crois, le remplir vite je devrais
J’ai pris carré-croix par toi et tes faux-airs
Maintenant que j’suis dans le trou, dites-moi qui l’a creusé ?
A qui je peux me fier ? Je suis toujours dans le doute
J’ai du sourire quand je voulais pas, je sais pas pourquoi j’ai ce feu en moi
De l’amour en moins, de la haine en plus
Est ce que mes proches seront toujours là à l’aube ?
J’ai déjà connu trop de décès, vaut mieux se méfier car tout s’arrête d’un jour à l’autre
Quelle sale époque sa mère la pute, ça se pèle les couilles à l’arrêt de bus
Ves-qui les fouilles quand t’as du stup et la justice nous met des stop
Fume des scuds le crâne explose, tu veux du love j’ai vidé le stock
J’ai pas d’excuses si je fais des fautes mais je voulais pas nous créer du tort
J’ai du sourire quand je voulais pas, je sais pas pourquoi j’ai ce feu en moi
De l’amour en moins, de la haine en plus
Est ce que mes proches seront toujours là à l’aube ?
J’ai déjà connu trop de décès, vaut mieux se méfier car tout s’arrête d’un jour à l’autre
Quelle sale époque sa mère la pute, ça se pèle les couilles à l’arrêt de bus
Ves-qui les fouilles quand t’as du stup et la justice nous met des stop
Fume des scuds le crâne explose, tu veux du love j’ai vidé le stock
J’ai pas d’excuses si je fais des fautes mais je voulais pas nous créer du tort
Je me noie pas dans un verre d’eau, j’ai traversé des typhons
A force d’être triste bah tu t’y fais, je pense à mon père je me vois le baffer
Un flash je titube le foie péter, les poumons noirs je re-perds la foi je suis pas très fier gros
Je suis différent je me sens grave seul, j’ai plein de regrets mais j’ai pas le seum
Tu récolteras ce que tu sèmes, vas-y arrête de me faire de l’acteur tu me fous la haine
J’ai le cœur qui saigne, donne moi des ailes que je plane au-dessus de la Terre
On se détruit pour se reconstruire, c’est pour la paix qu’on s'fait la guerre mais c’est trop tard j’ai le cœur à sec
On pourra pas changer l’histoire, non, on pourra juste vivre avec
A force d’être triste bah tu t’y fais, je pense à mon père je me vois le baffer
Un flash je titube le foie péter, les poumons noirs je re-perds la foi je suis pas très fier gros
Je suis différent je me sens grave seul, j’ai plein de regrets mais j’ai pas le seum
Tu récolteras ce que tu sèmes, vas-y arrête de me faire de l’acteur tu me fous la haine
J’ai le cœur qui saigne, donne moi des ailes que je plane au-dessus de la Terre
On se détruit pour se reconstruire, c’est pour la paix qu’on s'fait la guerre mais c’est trop tard j’ai le cœur à sec
On pourra pas changer l’histoire, non, on pourra juste vivre avec
En vrai j’me dis que ça va, même si je perds tout j’ai mon honneur
Quelques petites balafres qui viennent décorer mon cœur,
Je mènerais ma bataille, je tourne en rond pendant des heures
J’en allume un quand le ciel meurt
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