Paroles de la chanson Vieille dame par Bagai
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Paroles de la chanson Vieille dame par Bagai
Le triangle n'est plus isocèle
Entre toi, l'épine et la rose
Si tu choisis l'épine au cœur
Donne-moi l'parfum
Ça me prend quelque chose
J'ai cette envie lancinante de toi et
Royale fringale d'autre chose
L'amour est un pouvoir sous-naturel
Pour moi, même si je l'ose
Tu es le venin, le virus, le vaccin
Le berceau du voyage et sa fin
La main qui me pousse et me retient
De la chute, la vitesse et le point
Tu es l'orage qui gronde à ma porte
Entre toi, l'épine et la rose
Si tu choisis l'épine au cœur
Donne-moi l'parfum
Ça me prend quelque chose
J'ai cette envie lancinante de toi et
Royale fringale d'autre chose
L'amour est un pouvoir sous-naturel
Pour moi, même si je l'ose
Tu es le venin, le virus, le vaccin
Le berceau du voyage et sa fin
La main qui me pousse et me retient
De la chute, la vitesse et le point
Tu es l'orage qui gronde à ma porte
La seule question qui m'importe
La seule réponse dont je me fous
Car moi je peux vivre sans nous
Les vieilles dames comme moi savent
Qu'elles n'ont besoin de personne
Qu'elles n'ont besoin de personne
Sauf des autres
Je maudis amoureusement les autres
Les années lassent hélas et laissent loin de nous
Trop de sœurs et trop de frères
Les années passent et placent
Ce doux vertige en nous
Le vertige de perdre
La seule réponse dont je me fous
Car moi je peux vivre sans nous
Les vieilles dames comme moi savent
Qu'elles n'ont besoin de personne
Qu'elles n'ont besoin de personne
Sauf des autres
Je maudis amoureusement les autres
Les années lassent hélas et laissent loin de nous
Trop de sœurs et trop de frères
Les années passent et placent
Ce doux vertige en nous
Le vertige de perdre
J'ai avalé des couleuvres
Dormi face contre terre
J'ai lavé mon linge sale
En jouant au solitaire
Je suis toujours
Remontée au front
J'ai contribué à la guerre
J'ai éloigné les langues sales
J'ai appris à me taire
Et à chérir ceux qui sont
Le venin, le virus, le vaccin
Le berceau du voyage et sa fin
La main qui me pousse et me retient
De la chute, la vitesse et le point
Ils sont l'orage qui gronde à ma porte
La seule impasse qui m'importe
Dormi face contre terre
J'ai lavé mon linge sale
En jouant au solitaire
Je suis toujours
Remontée au front
J'ai contribué à la guerre
J'ai éloigné les langues sales
J'ai appris à me taire
Et à chérir ceux qui sont
Le venin, le virus, le vaccin
Le berceau du voyage et sa fin
La main qui me pousse et me retient
De la chute, la vitesse et le point
Ils sont l'orage qui gronde à ma porte
La seule impasse qui m'importe
Le seul chemin dont je me fous
Car moi je ne sais qu'aller chez nous
Les vieilles dames comme moi savent
Qu'elles n'ont besoin de personne
Sauf des autres
Des autres
Je maudis amoureusement les autres
Car moi je ne sais qu'aller chez nous
Les vieilles dames comme moi savent
Qu'elles n'ont besoin de personne
Sauf des autres
Des autres
Je maudis amoureusement les autres
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