Paroles de la chanson Ton Numéro par BaliMurphy
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Paroles de la chanson Ton Numéro par BaliMurphy
Je t'imagine déjà, peu à peu prendre tes aises
et puis faire comme chez toi, respirer mon air
ton bas abandonné, sous la cafetière
les demains dépravés, de nos soirées d'hier
je nous vois, ma moitié, enfin, plutôt mon tiers
de nos nuits passionnées, nous prendre comme des bêtes
ton sourire, mon extase, quand nous jouissons de concert
en faisait table rase sur nos nuits d'adultère
j'avance vers toi, étendue comme une plaine
quand le vin coule à flots, que les duges s'enchainent
et puis faire comme chez toi, respirer mon air
ton bas abandonné, sous la cafetière
les demains dépravés, de nos soirées d'hier
je nous vois, ma moitié, enfin, plutôt mon tiers
de nos nuits passionnées, nous prendre comme des bêtes
ton sourire, mon extase, quand nous jouissons de concert
en faisait table rase sur nos nuits d'adultère
j'avance vers toi, étendue comme une plaine
quand le vin coule à flots, que les duges s'enchainent
je te crois disponible, voire à ma portée
je m'élance conquérant, j'atterris à tes pieds
je te sers comme je peux, le best of de moi-même
des histoires empruntées ou que je vois en rêve
je fini par y croire, par m'écouter parler
je t'assomme sans trêve, je n'en fini pas de brailler
tu t'estompe peu à peu, dans la nuit et l'ivresse
je te laisse t'en aller, résolu, par paresse
trois fois cinq, douze, dix-sept, six milliards et des
poussières
un numéro fantoche, sans regard en arrière
j'avance vers toi, étendue comme une plaine
je m'élance conquérant, j'atterris à tes pieds
je te sers comme je peux, le best of de moi-même
des histoires empruntées ou que je vois en rêve
je fini par y croire, par m'écouter parler
je t'assomme sans trêve, je n'en fini pas de brailler
tu t'estompe peu à peu, dans la nuit et l'ivresse
je te laisse t'en aller, résolu, par paresse
trois fois cinq, douze, dix-sept, six milliards et des
poussières
un numéro fantoche, sans regard en arrière
j'avance vers toi, étendue comme une plaine
quand le vin coule à flots, que les duges s'enchainent
je te crois disponible, voire à ma portée
je m'élance conquérant, j'atterris à tes pieds
je te crois disponible, voire à ma portée
je m'élance conquérant, j'atterris à tes pieds
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