Paroles de la chanson Evidemment Bien Sûr par Barbara
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Paroles de la chanson Evidemment Bien Sûr par Barbara
Quand j'étais petit
Je n'étais pas grand
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
Je r'cevais les torgnoles
Tout comme un vrai guignol
Tantôt par mon papa
Tantôt par ma maman
Mais je n' leur en voulais pas
Car aux jours d'aujourd'hui
Où tombent tous les ennuis
Il faut bien du mérite
Pour élever des enfants
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
Je n'étais pas grand
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
Je r'cevais les torgnoles
Tout comme un vrai guignol
Tantôt par mon papa
Tantôt par ma maman
Mais je n' leur en voulais pas
Car aux jours d'aujourd'hui
Où tombent tous les ennuis
Il faut bien du mérite
Pour élever des enfants
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
Alors, je me disais :
Puisque tout n'est pas gai
Dans cette existence
Et vive l'espérance, mon bon ami !
Frotte ton derrière endolori
Quand j'étais petit
Je n'étais pas grand
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
Gentiment, pour distraire
Comme on jouait à la guerre
Et comme j'étais l' plus p'tit
Ben, j'étais toujours vaincu
Mais je n'en ai pas voulu
À mes copains d'alors
Taper sur le plus fort
C'est parfois dangereux
C'est toujours imprudent
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
Alors, je me disais :
Oublieras-tu jamais
Ta drôle d'enfance ?
Et vive l'espérance, mon bon ami !
Frotte ton derrière endolori
Lorsque j'ai grandi
Je n'étais plus p'tit
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
J'avais une tendre amie
Qui m' faisait des serments
C'est parfois dangereux
C'est toujours imprudent
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
Alors, je me disais :
Oublieras-tu jamais
Ta drôle d'enfance ?
Et vive l'espérance, mon bon ami !
Frotte ton derrière endolori
Lorsque j'ai grandi
Je n'étais plus p'tit
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
J'avais une tendre amie
Qui m' faisait des serments
J' suis parti pour la guerre
Et puis j'en suis revenu
Elle avait eu trois enfants
Avec ses trois amants
J' lui en ai pas voulu
Car quand on aime une femme
Il faut pas être absent
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
Si le sort qu'a flanqué
Un coup d' pied quelque part
Repousse le cafard
Et vive l'espérance, mon bon ami !
Frotte ton derrière endolori
Et pense qu'un jour viendra
Et puis j'en suis revenu
Elle avait eu trois enfants
Avec ses trois amants
J' lui en ai pas voulu
Car quand on aime une femme
Il faut pas être absent
Évidemment, bien sûr
Bien sûr, évidemment
Si le sort qu'a flanqué
Un coup d' pied quelque part
Repousse le cafard
Et vive l'espérance, mon bon ami !
Frotte ton derrière endolori
Et pense qu'un jour viendra
Où tu t'endormiras
Dans le grand silence
Et vive l'espérance, mon bon ami !
Il faut bon caractère
Pour supporter la vie !
Dans le grand silence
Et vive l'espérance, mon bon ami !
Il faut bon caractère
Pour supporter la vie !
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