Paroles de la chanson Petit par Bastien Lallemant
Auteurs: Bastien Lallemant
Compositeurs: Bastien Lallemant
Editeurs: Lili Louise Musique
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Paroles de la chanson Petit par Bastien Lallemant
Indifférente à toutes apparences et c’est tant mieux
De trois têtes le dépasse et sans baisser les yeux
Elle affronte le regard des curieux
Quand elle baisse les yeux c’est sur son petit monsieur
Oh monsieur soyez heureux
A l’étage de son cœur
C’est l’endroit le plus moelleux
Tout pour votre bonheur
Et quand on la voit passer derrière le parapet
On est bien vite tenté de donner du sifflet
En risquant pourtant de le fâcher
De trois têtes le dépasse et sans baisser les yeux
Elle affronte le regard des curieux
Quand elle baisse les yeux c’est sur son petit monsieur
Oh monsieur soyez heureux
A l’étage de son cœur
C’est l’endroit le plus moelleux
Tout pour votre bonheur
Et quand on la voit passer derrière le parapet
On est bien vite tenté de donner du sifflet
En risquant pourtant de le fâcher
Lui le petit monsieur caché par le parapet
Oh monsieur, pourquoi s’énerver ?
Laissez-les à leur fête
Car après tout ces sifflets
Vous passent dessus la tête
Ah si seulement vous étiez
De trois têtes plus allongé
Plus élancé qu’elle n’est
Seriez-vous pour autant
Aussi bien logé que maintenant
Avec vue sur sa voie lactée
ah la la quelle vue qu’ vous avez là !
Et quant à son balcon elle apparaît la géante
Ils sont nombreux ceux qui ouvrent une gueule béante
Oh monsieur, pourquoi s’énerver ?
Laissez-les à leur fête
Car après tout ces sifflets
Vous passent dessus la tête
Ah si seulement vous étiez
De trois têtes plus allongé
Plus élancé qu’elle n’est
Seriez-vous pour autant
Aussi bien logé que maintenant
Avec vue sur sa voie lactée
ah la la quelle vue qu’ vous avez là !
Et quant à son balcon elle apparaît la géante
Ils sont nombreux ceux qui ouvrent une gueule béante
En rêvant à leurs fêtes galantes
Combien sont ils qui remarquent au balcon de l’amante
Un monsieur que les polis
disent de petite taille
Un monsieur pris dans les plis
Des pieds jusqu’à la taille
Mais qui jamais ne se départi d’un grand sourire
Que fièrement il arbore quand elle pousse un soupir
Quand elle se plie en deux pour lui dire
Tout ce que des amants peuvent à l’un l’autre se dire
« Oh monsieur, petit monsieur
Combien sont ils qui remarquent au balcon de l’amante
Un monsieur que les polis
disent de petite taille
Un monsieur pris dans les plis
Des pieds jusqu’à la taille
Mais qui jamais ne se départi d’un grand sourire
Que fièrement il arbore quand elle pousse un soupir
Quand elle se plie en deux pour lui dire
Tout ce que des amants peuvent à l’un l’autre se dire
« Oh monsieur, petit monsieur
Vous êtes mon grand amour
S’il vous plaît pour mes beaux yeux
De grimper à ma tour »
Ah pensez monsieur si vous étiez
Aussi grand que ces grands dadais,
Aussi benêts, jamais
Vous ne tiendriez dans
son cœur et serré comme maintenant
L’auriez-vous pu voir d’aussi près ?
ah la la quelle vue vous avez là
Et quand il pleut c’est encore nous les plus arrosés
Lui reste bien pelotonné en son cœur abrité
On croirait l‘entendre ronronner
C’est un monde mais que voulez-vous l’endroit est douillet
S’il vous plaît pour mes beaux yeux
De grimper à ma tour »
Ah pensez monsieur si vous étiez
Aussi grand que ces grands dadais,
Aussi benêts, jamais
Vous ne tiendriez dans
son cœur et serré comme maintenant
L’auriez-vous pu voir d’aussi près ?
ah la la quelle vue vous avez là
Et quand il pleut c’est encore nous les plus arrosés
Lui reste bien pelotonné en son cœur abrité
On croirait l‘entendre ronronner
C’est un monde mais que voulez-vous l’endroit est douillet
Un monsieur qui si petit
Dans un verre se noie
Une dame parapluie
Le couvre sous son toit
Si même nous allions défiler sur les genoux
En nous faisant plus petits, en bourrant de cailloux
Nos poches pour paraître debout
Aussi petit que cet homme qui se pend à son cou
« Non messieurs n’y pensez pas
Et veuillez s’il vous plait
Prendre garde de vos pas
pour ne pas l’écraser »
Ah qui sait où il a bien pu passer ?
Entre l’un de nous ou bien coincé
Près d’étouffer, happé
Dans un pan, dans un pli
Ou bien réfugié, bien à l’abri
Oh je crois bien l’avoir senti...
Oh je crois bien l’avoir senti...
Dans un pli d’ mon anatomie
Près d’étouffer, happé
Dans un pan, dans un pli
Ou bien réfugié, bien à l’abri
Oh je crois bien l’avoir senti...
Oh je crois bien l’avoir senti...
Dans un pli d’ mon anatomie
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