Paroles de la chanson Naissance De La Poésie par Batlik
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Paroles de la chanson Naissance De La Poésie par Batlik
Je crois que tout s'écroule
Je crois que rien ne roule
Je crois que rien ne change
C'est ma vie qui me dérange
Et j'ai peur, toujours le même cauchemar
Celui du haut du plongeoir
Lorsque je me fais dessus
Et que tous le monde se marre.
Mais je veux que tout se passe bien
Je veux que tout aille mieux
Je veux que tout s'enchaine
Vers le haut comme c'est beau
Et je jure, je jure de les repérer
Je jure de les respecter
Les petits instants de bonheur
Je crois que rien ne roule
Je crois que rien ne change
C'est ma vie qui me dérange
Et j'ai peur, toujours le même cauchemar
Celui du haut du plongeoir
Lorsque je me fais dessus
Et que tous le monde se marre.
Mais je veux que tout se passe bien
Je veux que tout aille mieux
Je veux que tout s'enchaine
Vers le haut comme c'est beau
Et je jure, je jure de les repérer
Je jure de les respecter
Les petits instants de bonheur
Qui passent et puis qui meurent.
Donne moi de quoi imaginer
Donne moi une vision décalée
Donne moi une image qui me fasse réfléchir
Donne moi une page qui me fasse réagir
Donne moi de quoi oser penser à des choses auxquelles je n'aurai jamais pensé.
Ma routine me tue
Je vis dans le déjà-vu
Le déjà entendu, ouais j'ai déjà tout vu
Mais je suis pas compliqué, jamais blasé
Vas-y s'il te plait, fait moi chialer.
Il est bientôt cinq heures
Je regarde un instant dans la cour intérieur
Rien ne bouge, ce n'est pas encore l'heure
Donne moi de quoi imaginer
Donne moi une vision décalée
Donne moi une image qui me fasse réfléchir
Donne moi une page qui me fasse réagir
Donne moi de quoi oser penser à des choses auxquelles je n'aurai jamais pensé.
Ma routine me tue
Je vis dans le déjà-vu
Le déjà entendu, ouais j'ai déjà tout vu
Mais je suis pas compliqué, jamais blasé
Vas-y s'il te plait, fait moi chialer.
Il est bientôt cinq heures
Je regarde un instant dans la cour intérieur
Rien ne bouge, ce n'est pas encore l'heure
Mais c'est pour bientôt je le sais en bon chasseur.
Je descend dans la rue, top un paru-vendu
Je remonte mon manteau c'est pas qu'il fais pas beau
Mais l'air est frais, je suis aux aguets
C'est pour bientôt, maintenant ça y est.
Les rues se remplissent petit à petit
Chacun prend son service au saut du lit
J'assiste au réveil, quartier où je vis
J'assiste à la Naissance de la poésie.
Sûr que ce matin je rentrerais pas bredouille
Un couplet un refrain et au revoir la trouille
Je descends du plongeoir, boit l'eau de la piscine
Et arrose tous ces creuvars du bout d'ma pine
Je descend dans la rue, top un paru-vendu
Je remonte mon manteau c'est pas qu'il fais pas beau
Mais l'air est frais, je suis aux aguets
C'est pour bientôt, maintenant ça y est.
Les rues se remplissent petit à petit
Chacun prend son service au saut du lit
J'assiste au réveil, quartier où je vis
J'assiste à la Naissance de la poésie.
Sûr que ce matin je rentrerais pas bredouille
Un couplet un refrain et au revoir la trouille
Je descends du plongeoir, boit l'eau de la piscine
Et arrose tous ces creuvars du bout d'ma pine
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