Paroles de la chanson Ainik par Benjamin Sportes
Auteurs: Benjamin Sportes
Compositeurs: Benjamin Sportes
Editeurs: Peermusic France
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Paroles de la chanson Ainik par Benjamin Sportes
C'est du vent dans les veines quand nos lèvres tâtonnent pour ce premier baiser.
Et ton battement de cils qui me donne l'espoir d'une complicité.
Des années de lumière n'ont jamais su faner la sanguine de mon coeur qui, tapi depuis dix ans, s'est remis à japper comme à la première heure.
Et comme disait machin, di bifteck en standby, c'est un toutou qui dort.
Quoi de plus vivifiant qu'un coup d'foudre au derrière pour réveiller les morts !
Aïnik, oh Aïnik ahmar gelbi !
Il y a dans nos prunelles plus de vocabulaire qu'il n'en faut pour y voir.
Et ton battement de cils qui me donne l'espoir d'une complicité.
Des années de lumière n'ont jamais su faner la sanguine de mon coeur qui, tapi depuis dix ans, s'est remis à japper comme à la première heure.
Et comme disait machin, di bifteck en standby, c'est un toutou qui dort.
Quoi de plus vivifiant qu'un coup d'foudre au derrière pour réveiller les morts !
Aïnik, oh Aïnik ahmar gelbi !
Il y a dans nos prunelles plus de vocabulaire qu'il n'en faut pour y voir.
J'la sens universelle la raison des amants qui n'ont plus peur du noir !
Et cette envie pressante de prendre sur la joue un coup de téléphone.
Alors qu'importe le prix de l'éternelle attente, si c'est ton coeur qui sonne !
Y'a les pores de ma peau qui murmurent à ta peau d'y venir jeter l'ancre.
C'est pas mathématique les amants qu'on sépare, c'est une plaie qu'on échancre.
Aïnik, oh Aïnik ahmar gelbi !
Et cette peur indélébile que nos corps coagulent.
Aux effusions de sens, la raison capitule.
Nous tissons de l'étoffe sur une peau trop fine.
Nos corps doublés de soie s'effleurent à la hâte pour tromper la routine !
Et cette envie pressante de prendre sur la joue un coup de téléphone.
Alors qu'importe le prix de l'éternelle attente, si c'est ton coeur qui sonne !
Y'a les pores de ma peau qui murmurent à ta peau d'y venir jeter l'ancre.
C'est pas mathématique les amants qu'on sépare, c'est une plaie qu'on échancre.
Aïnik, oh Aïnik ahmar gelbi !
Et cette peur indélébile que nos corps coagulent.
Aux effusions de sens, la raison capitule.
Nous tissons de l'étoffe sur une peau trop fine.
Nos corps doublés de soie s'effleurent à la hâte pour tromper la routine !
Aïnik, oh Aïnik ahmar gelbi !
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