Paroles de la chanson L'etendard Etoile par Berard
Auteurs: Pothier Charles Louis
Compositeurs: Borel Clerc Charles
Editeurs: Les Nouvelles Editions Meridian
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Paroles de la chanson L'etendard Etoile par Berard
A l'horizon, voyez-vous dans la brume
Ces grands vapeurs s'avancer doucement
Brisant les flots dont chaque vague écume
Comme ils sont beaux dans le soleil levant
Majestueux ils voguent vers la France
Et leur fumée plane au vent du matin
Sur la jetée, palpitant d'espérance
La foule attend, regardant au lointain
On aperçoit leur joli pavillon
Drapeau chéri d'une grande nation
Refrain :
C'est l'étendard étoilé
Qui flotte sur notre France
C'est l'emblème de vaillance
D'un pays de liberté.
Ces grands vapeurs s'avancer doucement
Brisant les flots dont chaque vague écume
Comme ils sont beaux dans le soleil levant
Majestueux ils voguent vers la France
Et leur fumée plane au vent du matin
Sur la jetée, palpitant d'espérance
La foule attend, regardant au lointain
On aperçoit leur joli pavillon
Drapeau chéri d'une grande nation
Refrain :
C'est l'étendard étoilé
Qui flotte sur notre France
C'est l'emblème de vaillance
D'un pays de liberté.
C'est l'étendard étoilé
Uni aux couleurs françaises
On l'acclame, noble et fier
Et de partout monte dans l'air La Marseillaise !
Au grand soleil, Paris le coeur en fête
Couvre de fleurs nos chers Américains
Et chacun d'eux ayant sa midinette
Devient le roi du pavé parisien.
Les gais trottins piquent sur leur corsage,
Du peuple aimé, de tout petits drapeaux...
Puis en chemin, comme on n'est pas très sages
Clairs et joyeux, résonnent des bécots
Le coeur battant chacun se sent grisé
Et les faubourgs partout sont pavoisés.
Refrain
Uni aux couleurs françaises
On l'acclame, noble et fier
Et de partout monte dans l'air La Marseillaise !
Au grand soleil, Paris le coeur en fête
Couvre de fleurs nos chers Américains
Et chacun d'eux ayant sa midinette
Devient le roi du pavé parisien.
Les gais trottins piquent sur leur corsage,
Du peuple aimé, de tout petits drapeaux...
Puis en chemin, comme on n'est pas très sages
Clairs et joyeux, résonnent des bécots
Le coeur battant chacun se sent grisé
Et les faubourgs partout sont pavoisés.
Refrain
Bravant la mort, perdus dans la fournaise
Toujours debout sous une pluie de fer
Nos bataillons, fils de quatre-vingt-treize
On fait trembler les hordes du Kaiser
Couverts de boue, et cependant superbes
Le gai clairon vient de les rassembler
Dans ces champs noirs où ne pousse plus l'herbe
On leur présente un drapeau constellé
Qui sous le ciel aux sinistres lueurs
Vient se ranger près de nos trois couleurs.
Refrain
Toujours debout sous une pluie de fer
Nos bataillons, fils de quatre-vingt-treize
On fait trembler les hordes du Kaiser
Couverts de boue, et cependant superbes
Le gai clairon vient de les rassembler
Dans ces champs noirs où ne pousse plus l'herbe
On leur présente un drapeau constellé
Qui sous le ciel aux sinistres lueurs
Vient se ranger près de nos trois couleurs.
Refrain
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