Paroles de la chanson Charleroi par Bernard Lavilliers
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Paroles de la chanson Charleroi par Bernard Lavilliers
Charleroi
Auteur Compositeur : Bernard Lavilliers
J’ai vu ma ville comme je te vois,
J’ai vu ma ville partir en vrille,
J’ai vu ma ville partir en friche,
J’ai vu ma ville comme je te vois.
Même si je sais que tu t’en fiches
Qu’c’est pas ta ville à la finale,
Que je ferais mieux de me faire la malle
Même si je sais que tu t’en fiches,
Je vois ma ville portes clouées
Maisons à vendre, abandonnées,
Les canapés sur le trottoir
Où quelques vieux viennent s’asseoir.
Auteur Compositeur : Bernard Lavilliers
J’ai vu ma ville comme je te vois,
J’ai vu ma ville partir en vrille,
J’ai vu ma ville partir en friche,
J’ai vu ma ville comme je te vois.
Même si je sais que tu t’en fiches
Qu’c’est pas ta ville à la finale,
Que je ferais mieux de me faire la malle
Même si je sais que tu t’en fiches,
Je vois ma ville portes clouées
Maisons à vendre, abandonnées,
Les canapés sur le trottoir
Où quelques vieux viennent s’asseoir.
Je sens ma ville comme un amant
Trompée par un riche imbécile
Je sens ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Y’a la mort qui nous fait du charme
Et puis ils ont sorti les armes
Les armes.
Je traverse ma ville à perdre haleine
J’ai l’impression qu’elle raccourcit
Que la mort rôde sans merci
Est-ce de l’amour ou de la haine ?
Les enfants jouent à se braquer
Les écoles à des kilomètres
On comprend mieux pourquoi les Maîtres
Ne fréquentent plus nos quartiers.
Une jolie fille, un mur en brique
Des kilomètres de voies ferrées
Trompée par un riche imbécile
Je sens ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Y’a la mort qui nous fait du charme
Et puis ils ont sorti les armes
Les armes.
Je traverse ma ville à perdre haleine
J’ai l’impression qu’elle raccourcit
Que la mort rôde sans merci
Est-ce de l’amour ou de la haine ?
Les enfants jouent à se braquer
Les écoles à des kilomètres
On comprend mieux pourquoi les Maîtres
Ne fréquentent plus nos quartiers.
Une jolie fille, un mur en brique
Des kilomètres de voies ferrées
Les rues ne sont plus éclairées
Rien d’autre à faire que du trafic.
Je vois ma ville comme un amant
Trompée par un riche imbécile
Je vois ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Y’a la mort qui nous fait du charme
Et puis ils ont sorti les armes…
On entend parler la Calabre
De Palerme et de Napoli,
Brune aux yeux verts sous le ciel gris
Et la démarche qui se cabre
La Méditerranée est là, glacée dans son cadre de fer, de Rome jusqu’à Casablanca.
Ils se partagent la poussière…
Ils réinventent leurs soleils,
Leurs musiques et leurs habitudes,
Rien d’autre à faire que du trafic.
Je vois ma ville comme un amant
Trompée par un riche imbécile
Je vois ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Y’a la mort qui nous fait du charme
Et puis ils ont sorti les armes…
On entend parler la Calabre
De Palerme et de Napoli,
Brune aux yeux verts sous le ciel gris
Et la démarche qui se cabre
La Méditerranée est là, glacée dans son cadre de fer, de Rome jusqu’à Casablanca.
Ils se partagent la poussière…
Ils réinventent leurs soleils,
Leurs musiques et leurs habitudes,
Leurs couleurs, leurs piments pareils
Pour éviter la solitude
La solitude.
Je sens ma ville comme un amant
Trompée par un riche imbécile
Je sens ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Je sens ma ville comme un amant
Trompée par un riche imbécile
Je sens ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Je sens ma ville comme un amant
Trompée par un riche imbécile
Je sens ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Pour éviter la solitude
La solitude.
Je sens ma ville comme un amant
Trompée par un riche imbécile
Je sens ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Je sens ma ville comme un amant
Trompée par un riche imbécile
Je sens ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Je sens ma ville comme un amant
Trompée par un riche imbécile
Je sens ma ville comme un aimant
Ca me rend fou presque débile
Y’a la mort qui nous fait du charme
Et puis ils ont sorti les armes…
Les armes….
Et puis ils ont sorti les armes…
Les armes….
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