Paroles de la chanson Le feu au coeur (Ain't Talkin) par Bertrand Belin
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Paroles de la chanson Le feu au coeur (Ain't Talkin) par Bertrand Belin
Comme la nuit je m’avance dans ce jardin
Aucune fleur debout, pas de parfum
À la fontaine, au chant glacé de son eau
Je sens l’ennemi dans mon dos
Je me tais, j’avance
Dans ce jardin noir de bleu
Le feu au cœur j’avance
Tous ignorant tout de ce feu
On dit prie et tout va mieux
Oh mère prie pour moi, si tu peux
Il faut aimer son prochain mais tu vois comme
un oiseau noir niche au cœur de l’Homme
Je me tais, j’avance
Aucune fleur debout, pas de parfum
À la fontaine, au chant glacé de son eau
Je sens l’ennemi dans mon dos
Je me tais, j’avance
Dans ce jardin noir de bleu
Le feu au cœur j’avance
Tous ignorant tout de ce feu
On dit prie et tout va mieux
Oh mère prie pour moi, si tu peux
Il faut aimer son prochain mais tu vois comme
un oiseau noir niche au cœur de l’Homme
Je me tais, j’avance
Passé, je brulerai ce pont
dans Le feu au cœur j’avance
Les pauvres ne portent même plus de nom
Je suis là, las de pleurnicher
Les larmes ne m’ont rien apporté
Si je devais les trouver endormis
Je tuerai un à un mes ennemis
Je me tais, j’avance
Parmi les fourberies et les tromperies
Le feu au cœur j’avance
Par les villes foutues, vidées endormies
Le loup capital veut ta peau
Le monde cupide ta peau
Il te fera lâcher tôt la lutte
Toi-même tu guidera ta chute
dans Le feu au cœur j’avance
Les pauvres ne portent même plus de nom
Je suis là, las de pleurnicher
Les larmes ne m’ont rien apporté
Si je devais les trouver endormis
Je tuerai un à un mes ennemis
Je me tais, j’avance
Parmi les fourberies et les tromperies
Le feu au cœur j’avance
Par les villes foutues, vidées endormies
Le loup capital veut ta peau
Le monde cupide ta peau
Il te fera lâcher tôt la lutte
Toi-même tu guidera ta chute
Je me tais, j’avance
Parmi les on-dit dans les commérages
Le feu au cœur j’avance
Il est temps de faire équipage
Leur mépris bientôt te clou
Un beau matin tu ne te lèves plus du tout
Quant à moi, au bout je suis
Je veux venger mon père à tout prix
Je me tais, j’avance
Le pas mal assuré dans la pente
Le feu au cœur j’avance
Toujours cette image qui me hante
Mes compagnons de route, mes sœurs elles
N’ont pas moins que moi le cœur en flamme
Mais il n’y a pas ici de chapelles
Où déposer le fardeau de nos âmes
Je me tais, j’avance
Mon chien est debout, à bout
Le feu au cœur j’avance
Toujours cette image qui me hante
Maintenant le ciel s’ouvre
on veut se sentir soulagé
Honneur, sagesse et rides
d’aucuns disent que le ciel est vide
Je me tais, j’avance
Sur le dos, le reste d’un des miens
Le feu au cœur j’avance
Dans le talon, un mal de dents de chien
Où déposer le fardeau de nos âmes
Je me tais, j’avance
Mon chien est debout, à bout
Le feu au cœur j’avance
Toujours cette image qui me hante
Maintenant le ciel s’ouvre
on veut se sentir soulagé
Honneur, sagesse et rides
d’aucuns disent que le ciel est vide
Je me tais, j’avance
Sur le dos, le reste d’un des miens
Le feu au cœur j’avance
Dans le talon, un mal de dents de chien
La peine semble sans fin
Partout de quoi pleurer, partout
Qui pense que cette peine est feinte
N’a qu’à venir ici prendre le pouls
Je me tais, j’avance
Voilà bien longtemps je crains
Le feu au cœur j’avance
De n’être plus qu’un point dans le lointain
Comme la nuit j’avançais dans ce jardin
Dans la chaleur d’été, dans l’herbe chauffée
Pardon madame, j’ai dit pardon madame
Il n’y a plus personne, plus de jardinier
Je me tais, j’avance
voilà bien longtemps je crains
Partout de quoi pleurer, partout
Qui pense que cette peine est feinte
N’a qu’à venir ici prendre le pouls
Je me tais, j’avance
Voilà bien longtemps je crains
Le feu au cœur j’avance
De n’être plus qu’un point dans le lointain
Comme la nuit j’avançais dans ce jardin
Dans la chaleur d’été, dans l’herbe chauffée
Pardon madame, j’ai dit pardon madame
Il n’y a plus personne, plus de jardinier
Je me tais, j’avance
voilà bien longtemps je crains
Le feu au cœur j’avance
De n’être plus qu’un point dans le lointain
De n’être plus qu’un point dans le lointain
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