Paroles de la chanson Retrouvailles par Bertrand Burgalat
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Paroles de la chanson Retrouvailles par Bertrand Burgalat
Plus le temps nous sépare et plus il nous rapproche
Des amis disparus, des spectres de l’enfance De la neige qui tombe et puis de l’insouciance L’enfance reviendra, comme on saigne du nez Et les noms oubliés sur la photo de classe Sortiront d’un seul coup, jailliront du passé
Plus le temps nous sépare et plus il nous rapproche Du génie de l’enfance et des grandes verrières
Où l’on pourra enfin être léger d’hier
Où l'on pourra, c’est sûr, finir les dialogues
Les livres et les projets qu’on a laissés en plan
La nuit tombe si vite et l’on manque de temps
Des amis disparus, des spectres de l’enfance De la neige qui tombe et puis de l’insouciance L’enfance reviendra, comme on saigne du nez Et les noms oubliés sur la photo de classe Sortiront d’un seul coup, jailliront du passé
Plus le temps nous sépare et plus il nous rapproche Du génie de l’enfance et des grandes verrières
Où l’on pourra enfin être léger d’hier
Où l'on pourra, c’est sûr, finir les dialogues
Les livres et les projets qu’on a laissés en plan
La nuit tombe si vite et l’on manque de temps
Plus le temps nous sépare et plus il nous rapproche Au musée de l’innocence
Là-haut, dans les jardins suspendus de l’enfance Où le temps est rond comme une orange
Plus le temps nous sépare et plus il nous rapproche Du solde de tout compte, de l'éternel dimanche
Il n’y aura plus d’oubli, et plus d’indifférence
Un insecte immobile me l’a murmuré
Un cil sur la joue en signe du destin
Qu’on porte innocemment sur soi sans le savoir Plus le temps nous sépare et plus il nous libère
Au musée de l’innocence
Là-haut, dans les jardins suspendus de l’enfance Où le temps est rond comme une orange
Et nous nous reverrons, c’est sûr, je le sais
Là-haut, dans les jardins suspendus de l’enfance Où le temps est rond comme une orange
Plus le temps nous sépare et plus il nous rapproche Du solde de tout compte, de l'éternel dimanche
Il n’y aura plus d’oubli, et plus d’indifférence
Un insecte immobile me l’a murmuré
Un cil sur la joue en signe du destin
Qu’on porte innocemment sur soi sans le savoir Plus le temps nous sépare et plus il nous libère
Au musée de l’innocence
Là-haut, dans les jardins suspendus de l’enfance Où le temps est rond comme une orange
Et nous nous reverrons, c’est sûr, je le sais
Un insecte immobile me l’a murmuré
Nous nous réveillerons dans un jardin secret
Nous marcherons ensemble, tu me tiendras le bras Nous parlerons des heures, nous parlerons tout bas La mort est un détail, c’est une introduction
Je l’ai vu dans les yeux d’un insecte immobile
La mort est un détail, la vie n’est qu’un brouillon
Nous nous réveillerons dans un jardin secret
Nous marcherons ensemble, tu me tiendras le bras Nous parlerons des heures, nous parlerons tout bas La mort est un détail, c’est une introduction
Je l’ai vu dans les yeux d’un insecte immobile
La mort est un détail, la vie n’est qu’un brouillon
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