Paroles de la chanson Abandoned Love (Traduction) par Bob Dylan
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Paroles de la chanson Abandoned Love (Traduction) par Bob Dylan
Je peux entendre le tour de clé dans la serrure,
Ce clown, en moi m’afflige,
Je le croyais respectable, mais il n’est que vanité
Oh ! J’ai l’impression de traîner un boulet au bout d’une chaîne
Mon ange gardien se bat avec un fantôme,
Il est toujours en congé quand j’ai besoin de lui.
La lune rousse surplombe la colline,
Mais mon cœur me dit que je t’aime encore.
Je suis revenu en ville, depuis la lune ardente
Lorsque je t’ai vue dans la rue, j’ai bien failli défaillir.
Ce clown, en moi m’afflige,
Je le croyais respectable, mais il n’est que vanité
Oh ! J’ai l’impression de traîner un boulet au bout d’une chaîne
Mon ange gardien se bat avec un fantôme,
Il est toujours en congé quand j’ai besoin de lui.
La lune rousse surplombe la colline,
Mais mon cœur me dit que je t’aime encore.
Je suis revenu en ville, depuis la lune ardente
Lorsque je t’ai vue dans la rue, j’ai bien failli défaillir.
J’aime tant te voir te vêtir devant ton miroir,
Me laisseras-tu entrer avant de partir pour toujours
Tout le monde porte un masque,
Pour dissimuler ce qui subsiste encore dans fond de ses yeux.
Mais moi je ne peux pas me déguiser,
Je suivrai les enfants, partout où ils iront.
Je défile dans la Parade de la Fête de la Liberté
Mais aussi longtemps que je t’aimerai, je ne pourrai me libérer.
Combien de temps encore, endurer ce calvaire ?
M’accorderas-tu juste un sourire avant que je ne te quitte ?
Me laisseras-tu entrer avant de partir pour toujours
Tout le monde porte un masque,
Pour dissimuler ce qui subsiste encore dans fond de ses yeux.
Mais moi je ne peux pas me déguiser,
Je suivrai les enfants, partout où ils iront.
Je défile dans la Parade de la Fête de la Liberté
Mais aussi longtemps que je t’aimerai, je ne pourrai me libérer.
Combien de temps encore, endurer ce calvaire ?
M’accorderas-tu juste un sourire avant que je ne te quitte ?
J’ai baissé les bras, je dois partir
La toison d’or n’était qu’une illusion.
Les trésors ne se livrent pas aux chercheurs
Dont les dieux sont morts, et dont les reines trônent à l’église
Nous étions assis dans un théâtre vide et nous nous embrassions
Je t’ai demandé de m’oublier
Ma tête me disait de partir
Pourtant mon cœur savait que je t’aimais, mais tu es si étrange
Une fois encore à minuit, près du mur
Enlève ton épais maquillage et pose ton châle
Descends du trône où tu sièges
Laisse moi vibrer de ton amour, encore une dernière fois avant d’y renoncer
traduction Georges Ioannitis
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