Paroles de la chanson 'Cross The Green Mountain (Traduction) par Bob Dylan
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Paroles de la chanson 'Cross The Green Mountain (Traduction) par Bob Dylan
Je vais par les monts verdoyants, j'ai dormi au bord du torrent
Les cieux en flammes dans ma tête, j'ai fait un rêve monstrueux
Quelque chose est sorti de la mer
A envahi cette terre de richesse et de liberté.
Je regarde dans les yeux mon ami miséricordieux
Et je me demande : Est-ce la fin?
Des souvenirs surgissent, doux mais tristes
Et je pense aux âmes qui se verront au Paradis.
Des autels brûlent, des flammes s'élèvent de tous côtés
L'ennemi est arrivé à travers monts
Ils rabattent leurs casquettes là-haut sur la colline
Les cieux en flammes dans ma tête, j'ai fait un rêve monstrueux
Quelque chose est sorti de la mer
A envahi cette terre de richesse et de liberté.
Je regarde dans les yeux mon ami miséricordieux
Et je me demande : Est-ce la fin?
Des souvenirs surgissent, doux mais tristes
Et je pense aux âmes qui se verront au Paradis.
Des autels brûlent, des flammes s'élèvent de tous côtés
L'ennemi est arrivé à travers monts
Ils rabattent leurs casquettes là-haut sur la colline
On les sent arriver, un peu plus de sang de brave à répandre.
Le long de la ligne floue de l'Atlantique
La terre ravagée s'étend sur des milles à l'intérieur
La lumière s'avance parmi les larges rues
Tous doivent céder devant le dieu vengeur.
Le monde est vieux, le monde est gris
Les leçons de la vie ne s'apprennent pas en un jour
Je regarde et j'attends et debout j'écoute
La musique qui vient d'un pays bien meilleur.
Fermez les yeux de notre capitaine, puisse-t-il connaître la paix
Sa longue nuit s'achève, le grand chef est terrassé
Le long de la ligne floue de l'Atlantique
La terre ravagée s'étend sur des milles à l'intérieur
La lumière s'avance parmi les larges rues
Tous doivent céder devant le dieu vengeur.
Le monde est vieux, le monde est gris
Les leçons de la vie ne s'apprennent pas en un jour
Je regarde et j'attends et debout j'écoute
La musique qui vient d'un pays bien meilleur.
Fermez les yeux de notre capitaine, puisse-t-il connaître la paix
Sa longue nuit s'achève, le grand chef est terrassé
Il était prêt à tomber, il était vif à porter secours
Tué net il finit par ses propres hommes.
C'est la dernière heure du dernier jour de la dernière année heureuse
J'ai l'impression que le monde inconnu est si proche
L'orgueil disparaîtra et la gloire rouillera
Mais la vertu survit et l'oublier on ne pourra.
Les cloches du soir ont sonné
Du blasphème sur toutes les langues
Laissons les dire que j'ai marché dans la lumière de la nature
Et que j'ai soutenu la vérité et le bon droit.
Servez Dieu et soyez allègres, regardez vers l'avant
Tué net il finit par ses propres hommes.
C'est la dernière heure du dernier jour de la dernière année heureuse
J'ai l'impression que le monde inconnu est si proche
L'orgueil disparaîtra et la gloire rouillera
Mais la vertu survit et l'oublier on ne pourra.
Les cloches du soir ont sonné
Du blasphème sur toutes les langues
Laissons les dire que j'ai marché dans la lumière de la nature
Et que j'ai soutenu la vérité et le bon droit.
Servez Dieu et soyez allègres, regardez vers l'avant
Au-delà de la noirceur des masques, les surprises de l'aube
Dans les herbes profondes et les bois souillés de sang
Jamais ils n'ont pensé à se rendre, ils sont tombés en faisant face.
Sur l'Alabama des étoiles sont tombées, j'ai vu chacune d'elles
Vous marchez dans un rêve, qui que vous soyez
Glacés sont les cieux, âpre est le gel
Les sols ont gelé dur et la matinée est perdue.
Une lettre pour une mère est arrivée aujourd'hui
Une blessure à la poitrine, c'est ce qu'elle dit
Mais il va se rétablir, il est dans un lit d'hôpital
Dans les herbes profondes et les bois souillés de sang
Jamais ils n'ont pensé à se rendre, ils sont tombés en faisant face.
Sur l'Alabama des étoiles sont tombées, j'ai vu chacune d'elles
Vous marchez dans un rêve, qui que vous soyez
Glacés sont les cieux, âpre est le gel
Les sols ont gelé dur et la matinée est perdue.
Une lettre pour une mère est arrivée aujourd'hui
Une blessure à la poitrine, c'est ce qu'elle dit
Mais il va se rétablir, il est dans un lit d'hôpital
Mais il ne va pas se rétablir, il est déjà mort.
Je suis à dix milles de la ville et on m'enlève
Vers une lueur ancienne qui n'est pas celle du jour
Ils étaient calmes, ils étaient carrés, nous ne les connaissions que trop
Nous nous sommes aimés plus que nous ne l'avons jamais admis.
Je suis à dix milles de la ville et on m'enlève
Vers une lueur ancienne qui n'est pas celle du jour
Ils étaient calmes, ils étaient carrés, nous ne les connaissions que trop
Nous nous sommes aimés plus que nous ne l'avons jamais admis.
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