Paroles de la chanson Man in the Long Black Coat (Traduction) par Bob Dylan
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Paroles de la chanson Man in the Long Black Coat (Traduction) par Bob Dylan
Les criquets stridulent et les eaux de la rivière sont au plus haut,
Une robe de fine toile de lin, sèche sur une corde à linge
Les fenêtres sont grandes ouvertes et les arbres tropicaux
Sont pliés par un vent d’orage.
Aucun mot d’adieu, pas même une note,
Elle est partie avec l’homme au long manteau noir.
On l’a vu rôder,
Près de la vieille salle des fêtes, à la sortie de la ville.
Il la regardait fixement quand elle lui demanda de
Une robe de fine toile de lin, sèche sur une corde à linge
Les fenêtres sont grandes ouvertes et les arbres tropicaux
Sont pliés par un vent d’orage.
Aucun mot d’adieu, pas même une note,
Elle est partie avec l’homme au long manteau noir.
On l’a vu rôder,
Près de la vieille salle des fêtes, à la sortie de la ville.
Il la regardait fixement quand elle lui demanda de
L’inviter à danser. Son visage était figé comme un masque,
On dit qu’il invoqua la bible.
Il y avait de la poussière, sur l’homme au long manteau noir.
Le pasteur était monté en chaire pour faire son sermon
Il disait que notre conscience est abjecte et pervertie,
Que nul ne pouvait s’y fier
Puisqu’elle ne dépend que de soi.
C’était pas facile à avaler, ça vous restait en travers de la gorge.
Elle a donné son cœur à l’homme au long manteau noir.
On dit qu’il invoqua la bible.
Il y avait de la poussière, sur l’homme au long manteau noir.
Le pasteur était monté en chaire pour faire son sermon
Il disait que notre conscience est abjecte et pervertie,
Que nul ne pouvait s’y fier
Puisqu’elle ne dépend que de soi.
C’était pas facile à avaler, ça vous restait en travers de la gorge.
Elle a donné son cœur à l’homme au long manteau noir.
On dit qu’on apprend de ses erreurs,
C’est vrai qu’on peut parfois voir les choses ainsi,
Les gens ne vivent pas plus qu’ils ne meurent, ils sont juste de passage.
Elle est partie avec l’homme au long manteau noir.
Depuis le mois de Juin, la brume stagne sur les eaux.
La lune montante, éclaire des arbres déracinés,
Qui s’agitent sous les vibrations d’une force qui gronde,
Quelqu’un dehors s’acharne inutilement.
Elle n’a jamais rien dit, ni laissé aucun message,
Elle est partie avec l’homme au long manteau noir.
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