Paroles de la chanson Visions of Johanna (Traduction) par Bob Dylan
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Paroles de la chanson Visions of Johanna (Traduction) par Bob Dylan
Il n’y a que la lune pour vous jouer des tours pareils, quand vous êtes peinard.
On est tous là, avachis et faisant notre possible pour prouver le contraire.
Et Louise, avec ses mains pleines de pluie, tente de conjurer le sort.
Des lumières clignotent de l’appart’ en face,
Les tuyaux du chauffage gargouillent dans la chambre
Une radio country joue en sourdine,
Mais il n’y a pas de quoi faire l’effort de s’lever pour l’éteindre.
Il y a juste Louise et son amant, là, entrelacés,
Et l’image de Johanna qui hante mon esprit
On est tous là, avachis et faisant notre possible pour prouver le contraire.
Et Louise, avec ses mains pleines de pluie, tente de conjurer le sort.
Des lumières clignotent de l’appart’ en face,
Les tuyaux du chauffage gargouillent dans la chambre
Une radio country joue en sourdine,
Mais il n’y a pas de quoi faire l’effort de s’lever pour l’éteindre.
Il y a juste Louise et son amant, là, entrelacés,
Et l’image de Johanna qui hante mon esprit
Sur le terrain vague, les filles jouent à Colin-maillard avec un trousseau de clés.
Celles qui se sont installées pour la nuit parlent d’escapade en trains rapides.
On entend le gardien de nuit, faire clignoter sa lampe torche
Il se demande qui, d’elles ou lui, est le plus débile.
Louise va bien, elle est juste à côté,
Elle est délicate et ressemble à un miroir,
Mais elle rend trop criante,
L’absence de Johanna.
Un fantôme électrique transparaît des os de son visage,
Où l’image de Johanna avait déjà pris place.
Maintenant le gosse a perdu la partie, il s’prend trop au sérieux,
Il se vante de sa misère, il dit qu’il aime vivre dangereusement,
Et quand le nom de Johanna revient sur la table,
Il me parle d’un baiser d’adieu.
Il devrait avoir honte d’être aussi minable,
Quand il marmonne, au mur, son petit laïus, pendant que je suis dans l’entrée.
Comment dire ?
C’est si dur pour moi de tenir,
Surtout quand l’image de Johanna m’obsède jusqu’à l’aube.
Dans le sein des musées, c’est un peu l’infini que l’on juge.
L’écho d’une voix, c’est comme ça que le salut doit résonner, après un certain temps
Mais tu peux voir à son sourire crispé,
Que la Joconde devait avoir le mal des transports.
Et quand le nom de Johanna revient sur la table,
Il me parle d’un baiser d’adieu.
Il devrait avoir honte d’être aussi minable,
Quand il marmonne, au mur, son petit laïus, pendant que je suis dans l’entrée.
Comment dire ?
C’est si dur pour moi de tenir,
Surtout quand l’image de Johanna m’obsède jusqu’à l’aube.
Dans le sein des musées, c’est un peu l’infini que l’on juge.
L’écho d’une voix, c’est comme ça que le salut doit résonner, après un certain temps
Mais tu peux voir à son sourire crispé,
Que la Joconde devait avoir le mal des transports.
Regarde ce vieux papier peint se faner,
Pendant que des femmes au visage flasque, éternuent.
Ecoute celle à la moustache qui dit :
« Bon dieu où sont passés mes genoux ? »
Oh, Des bijoux et des paires de jumelles pendouillent de la tête d’une mule !
Mais cette image de Johanna rend tout ça impossible !
Le camelot maintenant parle à la princesse, qui fait semblant de lui prêter attention.
Il lui dit: « désigne-moi quelqu’un qui ne vive pas aux crochets des autres et je prierai pour lui. »
Pendant que des femmes au visage flasque, éternuent.
Ecoute celle à la moustache qui dit :
« Bon dieu où sont passés mes genoux ? »
Oh, Des bijoux et des paires de jumelles pendouillent de la tête d’une mule !
Mais cette image de Johanna rend tout ça impossible !
Le camelot maintenant parle à la princesse, qui fait semblant de lui prêter attention.
Il lui dit: « désigne-moi quelqu’un qui ne vive pas aux crochets des autres et je prierai pour lui. »
Mais comme Louise dit toujours :
« Tu n’peux pas en espérer autant, tu sais. »
Comme elle se prépare pour lui
Et la Madone, elle n’a pas encore fait son apparition.
On voit la cage vide qui commence à rouiller maintenant.
Là où, un jour, sa cape glissa de la scène.
Le joueur de violon maintenant prend la route.
Il note toute la restitution des objets en location,
A l’arrière d’un camion de poissons qu’on est en train de charger.
A l’instant où ma tête explose,
Des harmonicas jouent des accords chétifs et tristes comme un jour de pluie
Et cette image de Johanna est maintenant tout ce qui me reste
« Tu n’peux pas en espérer autant, tu sais. »
Comme elle se prépare pour lui
Et la Madone, elle n’a pas encore fait son apparition.
On voit la cage vide qui commence à rouiller maintenant.
Là où, un jour, sa cape glissa de la scène.
Le joueur de violon maintenant prend la route.
Il note toute la restitution des objets en location,
A l’arrière d’un camion de poissons qu’on est en train de charger.
A l’instant où ma tête explose,
Des harmonicas jouent des accords chétifs et tristes comme un jour de pluie
Et cette image de Johanna est maintenant tout ce qui me reste
Traduction : Georges Ioannitis
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