Paroles de la chanson San Clemente par Boulevard Des Airs
Auteurs: Florent Dasque,Jean-Noel Dasque,Sylvain Duthu
Compositeurs: Florent Dasque,Jean-Noel Dasque,Sylvain Duthu
Editeurs: Sony Atv Music Publishing,Universal Music Publishing,Madeu Editeur,El Editions
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Paroles de la chanson San Clemente par Boulevard Des Airs
J’voulais placer le mot « ruelle »
J’voulais vous parler un peu d’elle
J’voulais écrire, sur un bout d’table
Dans un salon d’la rue des arts
Et déchirer ce bout de nappe
Sous le regard de bande appart
Et en finir, avec l’ambition,
Cracher, bourré, mes convictions
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
J’voulais vous parler un peu d’elle
J’voulais écrire, sur un bout d’table
Dans un salon d’la rue des arts
Et déchirer ce bout de nappe
Sous le regard de bande appart
Et en finir, avec l’ambition,
Cracher, bourré, mes convictions
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Mais on n'fait pas les Amériques
En écrivant ce genre de choses
Fallait choisir, la chose publique
Y’a peu de public à la prose
Et entre nous, mon choix est fait
Et entre nous, mon choix est fait
Et jamais je ne choisirai
Entre la bannière et la rose
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Et j’voulais vous parler des femmes
Du mois d’octobre 61
Mais on n'fait pas les Amériques
En écrivant ce genre de choses
Fallait choisir, la chose publique
Y’a peu de public à la prose
Et entre nous, mon choix est fait
Et entre nous, mon choix est fait
Et jamais je ne choisirai
Entre la bannière et la rose
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Je voulais vous parler d’la misère
J’voulais vous parler d’la folie
D’un traitement sécuritaire
De pardon et de l’oubli
Esclave et aliéné
De la cause à la déraison
Attendant quelque chose
Qui s’produira pourtant jamais
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Et j’voulais vous parler des femmes
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Je voulais vous parler d’la misère
J’voulais vous parler d’la folie
D’un traitement sécuritaire
De pardon et de l’oubli
Esclave et aliéné
De la cause à la déraison
Attendant quelque chose
Qui s’produira pourtant jamais
Et j’voulais vous parler des femmes
Et des bouts d'art, de leur parfum
De 68, que l’on condamne
Du mois d’octobre 61
Et j’voulais vous parler des femmes
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