Paroles de la chanson Mendelssohn par Brigitte Fontaine
Auteurs: Brigitte Fontaine
Compositeurs: Jean-Claude Vannier
Editeurs: Allo Music Editions,Editions J-C Vannier
Chanson manquante pour "Brigitte Fontaine" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Mendelssohn"
Proposer une correction des paroles de "Mendelssohn"
Paroles de la chanson Mendelssohn par Brigitte Fontaine
J’écoutais Melody Nelson
Du très regretté Mendelssohn
Lorsque soudain surgit l’orage
Ainsi qu’un démon plein de rage
Je mets mon voile et ma chemise
Et je me rends vite à l’église
La synagogue ou la mosquée
Excusez moi j’ai oublié
J’implore à genoux le seigneur
De me rendre la paix du cœur
Mais zut c’était la pénurie
Pour la personne sans zizi
Mon stock n’est pas pour les commères
Du très regretté Mendelssohn
Lorsque soudain surgit l’orage
Ainsi qu’un démon plein de rage
Je mets mon voile et ma chemise
Et je me rends vite à l’église
La synagogue ou la mosquée
Excusez moi j’ai oublié
J’implore à genoux le seigneur
De me rendre la paix du cœur
Mais zut c’était la pénurie
Pour la personne sans zizi
Mon stock n’est pas pour les commères
Tu peux retourner voir ta mère
Me dit tout à trac l’Eternel
Qui n’a que faire des femelles
Je me dis quittant la kermesse
Ce n’est pas pour nous ce bizness
C’est vrai que c’est pour les poilus
Les patriarches les cocus
Je pars soufflant comme une forge
Vers un palace en sucre d’orge
Quarante étages verts et roses
Que j’ai connu à peine éclose
Très vite je prends l’ascenseur
En jouant Mendelssohn par cœur
Avec mon violon que j’ai pris
Sur un coussin près de mon lit
Me dit tout à trac l’Eternel
Qui n’a que faire des femelles
Je me dis quittant la kermesse
Ce n’est pas pour nous ce bizness
C’est vrai que c’est pour les poilus
Les patriarches les cocus
Je pars soufflant comme une forge
Vers un palace en sucre d’orge
Quarante étages verts et roses
Que j’ai connu à peine éclose
Très vite je prends l’ascenseur
En jouant Mendelssohn par cœur
Avec mon violon que j’ai pris
Sur un coussin près de mon lit
Le son resplendit et chatoie
Jusqu’au sofas de chocolat
Derviches et fées dans leurs ébats
Sur de grands divans de moka
En léchant les parois de miel
De caramel et d’hydromel
Je monte et descends sans arrêt
Et c’est alors enfin la paix.
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)