Paroles de la chanson Giuseppe Et Maria par Cali
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Paroles de la chanson Giuseppe Et Maria par Cali
A chaque instant, ils pourraient arriver, ils pourraient nous surprendre
Enlacés comme ça, ton visage a changé pendant la nuit, mon ange
C’est cette putain de guerre, qui t’a donné trente ans,
Relève-toi, ne pleure plus, il faut fuir maintenant.
C’est cette putain de guerre, qui t’a donné trente ans
Ne pleure plus, prends les gosses sous le bras, et va-t’en
Laisse les photos sur la cheminée, qu’ils voient le bonheur qu’ils déchirent
Rejoins vite le troupeau de veuves qui grimpent la colline du village martyr
Enlacés comme ça, ton visage a changé pendant la nuit, mon ange
C’est cette putain de guerre, qui t’a donné trente ans,
Relève-toi, ne pleure plus, il faut fuir maintenant.
C’est cette putain de guerre, qui t’a donné trente ans
Ne pleure plus, prends les gosses sous le bras, et va-t’en
Laisse les photos sur la cheminée, qu’ils voient le bonheur qu’ils déchirent
Rejoins vite le troupeau de veuves qui grimpent la colline du village martyr
Et vos hommes tiendront, ils tiendront jusqu’au bout
Plutôt mourir debout, que vivre à genoux.
Oui, j’ai envie de toi, comme c’est étrange d’imaginer
C’est peut-être la dernière fois
Oui, je veux te suivre, tout là-haut encore, une dernière fois
Mon amour, je garderai cette nuit dans le ventre
Et tes seins sous ta chemise qui dessinaient ta respiration
Et mes mains sur ta peau qui n’étaient plus les mains fatiguées d’un maçon
Tu sais, mon ange, je garderai ces moments, dans le cœur
Quand tu hurlais, pour rien, au bonheur
Et les enfants riaient et le jardin en friche, il riait lui aussi
Plutôt mourir debout, que vivre à genoux.
Oui, j’ai envie de toi, comme c’est étrange d’imaginer
C’est peut-être la dernière fois
Oui, je veux te suivre, tout là-haut encore, une dernière fois
Mon amour, je garderai cette nuit dans le ventre
Et tes seins sous ta chemise qui dessinaient ta respiration
Et mes mains sur ta peau qui n’étaient plus les mains fatiguées d’un maçon
Tu sais, mon ange, je garderai ces moments, dans le cœur
Quand tu hurlais, pour rien, au bonheur
Et les enfants riaient et le jardin en friche, il riait lui aussi
Mon Dieu, tu étais belle.
Et j’entendrai vos voix pendant le dernier souffle, je garderai tout ça
La mort ne fait plus peur, comme j’ai de la chance de partir amoureux de toi
Ils me fusilleront, peut-être, derrière la maison
De chacune des plaies, coulera notre amour
Ils me fusilleront derrière la maison
Et c’est à cet endroit que Giuseppe et Maria s’aimeront pour toujours.
Si tu entends hurler au loin, surtout, ne te retourne pas
C’est le cri de l’espoir qui monte, qui monte, qui montera là-bas
Etreins fort les enfants et dis-leur que leur père est parti amoureux
Et j’entendrai vos voix pendant le dernier souffle, je garderai tout ça
La mort ne fait plus peur, comme j’ai de la chance de partir amoureux de toi
Ils me fusilleront, peut-être, derrière la maison
De chacune des plaies, coulera notre amour
Ils me fusilleront derrière la maison
Et c’est à cet endroit que Giuseppe et Maria s’aimeront pour toujours.
Si tu entends hurler au loin, surtout, ne te retourne pas
C’est le cri de l’espoir qui monte, qui monte, qui montera là-bas
Etreins fort les enfants et dis-leur que leur père est parti amoureux
Et que tu seras forte, et que tu seras belle, que tu les aimeras pour deux
Et que tu seras forte, et que tu seras belle, que tu les aimeras pour deux.
Et que tu seras forte, et que tu seras belle, que tu les aimeras pour deux.
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