Paroles de la chanson Centre ville par Calogero
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Paroles de la chanson Centre ville par Calogero
Des lumières apparaissent
Les nuits de centre-ville
Celles entre naufrage et deux liaisons en enseigne
Il pleut comme moi je saigne
Les nuits de centre-ville
C’est un film censuré, à l’heure où je m’éveille
Vous glissez nu sous les draps
Tandis que moi je sors quand la ville dort
Et que je passe des filles qui parlent fort
Que nous levons nos verres à la lumière
Que nous dansons, jusqu’à la petite mort
Les nuits de centre-ville
Celles entre naufrage et deux liaisons en enseigne
Il pleut comme moi je saigne
Les nuits de centre-ville
C’est un film censuré, à l’heure où je m’éveille
Vous glissez nu sous les draps
Tandis que moi je sors quand la ville dort
Et que je passe des filles qui parlent fort
Que nous levons nos verres à la lumière
Que nous dansons, jusqu’à la petite mort
Depuis ce temps qui meurt, lorsque l’on dort
De ce que j’en sais ne reviendra jamais
Des lumières apparaissent
Les nuits de centre-ville
Sont blanches et tamisées, personne ne me réclame
Plus personne ne me blâme
Les nuits de centre-ville
C’est une vie d’à côté, à l’heure où je m’enflamme
Vous glissez nu sous les draps
Tandis que moi je sors quand la ville dort
Et que j’enlace des filles qui parlent fort
Que nous levons nos verres à la lumière
De ce que j’en sais ne reviendra jamais
Des lumières apparaissent
Les nuits de centre-ville
Sont blanches et tamisées, personne ne me réclame
Plus personne ne me blâme
Les nuits de centre-ville
C’est une vie d’à côté, à l’heure où je m’enflamme
Vous glissez nu sous les draps
Tandis que moi je sors quand la ville dort
Et que j’enlace des filles qui parlent fort
Que nous levons nos verres à la lumière
Que nous dansons, jusqu’à la petite mort
Depuis ce temps qui crève, lorsque l’on dort
De ce que j’en sais ne reviendra jamais
Vous glissez nu sous les draps
Tandis que moi je sors quand la ville dort
Et que j’embrasse des filles qui parlent fort
Que nous levons nos verres à la lumière
Que nous dansons, jusqu’à la petite mort
Tandis que moi je sors quand la ville dort
Et que j’embrasse des filles qui parlent fort
Que nous levons nos verres à la lumière
Que nous dansons, jusqu’à la petite mort
Que tout ce temps qui file, à l’aise tranquille
De ce que j’en sais ne reviendra jamais
Depuis ce temps qui crève, lorsque l’on dort
De ce que j’en sais ne reviendra jamais
Vous glissez nu sous les draps
Tandis que moi je sors quand la ville dort
Et que j’embrasse des filles qui parlent fort
Que nous levons nos verres à la lumière
Que nous dansons, jusqu’à la petite mort
Tandis que moi je sors quand la ville dort
Et que j’embrasse des filles qui parlent fort
Que nous levons nos verres à la lumière
Que nous dansons, jusqu’à la petite mort
Que tout ce temps qui file, à l’aise tranquille
De ce que j’en sais ne reviendra jamais
Des lumières apparaissent
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