Paroles de la chanson El Mismo Aire (Traduction) par Camilo
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Paroles de la chanson El Mismo Aire (Traduction) par Camilo
Si tu veux, jette mes cahiers
Si tu veux, efface jusqu’à mon numéro de portable
Si tu veux, avec mon courrier, allume
Un feu, pour voir si tu arrives à te réchauffer
Ce que je n’ai pas pu faire avec mes baisers
Et les câlins que je n’ai jamais su te donner
On passe de « Je t’aime »
A ne pas pouvoir se dire : « Salut, comment ça va ? »
Toi et moi, on passe d’être tout à rien
De se dévorer des yeux
A être maintenant face à face
Et tu ne peux même pas me regarder dans les yeux
Si tu veux, efface jusqu’à mon numéro de portable
Si tu veux, avec mon courrier, allume
Un feu, pour voir si tu arrives à te réchauffer
Ce que je n’ai pas pu faire avec mes baisers
Et les câlins que je n’ai jamais su te donner
On passe de « Je t’aime »
A ne pas pouvoir se dire : « Salut, comment ça va ? »
Toi et moi, on passe d’être tout à rien
De se dévorer des yeux
A être maintenant face à face
Et tu ne peux même pas me regarder dans les yeux
On vivait bouche contre bouche
Nos lèvres ne voulaient pas se détacher
Et maintenant, là, dans la même chambre
On ne peut même plus respirer le même air
Emporte le tapis
Emporte ma vie que tu as prise comme un jouet
Emporte ces deux anneaux qui nous engagent
Même si je ne veux pas te perdre, je te dirais : « Va-t’en »
Mais celui qui s’en va, c’est moi
Et quand je partirai, je prendrai ma montre
Pour prendre le temps que j’ai passé avec toi, qui n’était pas perdu
Tous les souvenirs, je les emporte avec moi
Toi et moi, on passe d’être tout à rien
De se dévorer des yeux
Nos lèvres ne voulaient pas se détacher
Et maintenant, là, dans la même chambre
On ne peut même plus respirer le même air
Emporte le tapis
Emporte ma vie que tu as prise comme un jouet
Emporte ces deux anneaux qui nous engagent
Même si je ne veux pas te perdre, je te dirais : « Va-t’en »
Mais celui qui s’en va, c’est moi
Et quand je partirai, je prendrai ma montre
Pour prendre le temps que j’ai passé avec toi, qui n’était pas perdu
Tous les souvenirs, je les emporte avec moi
Toi et moi, on passe d’être tout à rien
De se dévorer des yeux
A être maintenant face à face
Et tu ne peux même pas me regarder dans les yeux
On vivait bouche contre bouche
Nos lèvres ne voulaient pas se détacher
Et maintenant, là, dans la même chambre
On ne peut même plus respirer le même air
Si tu veux, jette mes cahiers
Si tu veux, efface jusqu’à mon numéro de portable
Si tu veux, avec mon courrier, allume
Un feu, pour voir si tu arrives à te réchauffer
Toi et moi, on passe d’être tout à rien
De se dévorer des yeux
A être maintenant face à face
Et tu ne peux même pas me regarder dans les yeux
On vivait bouche contre bouche
Nos lèvres ne voulaient pas se détacher
Et maintenant, là, dans la même chambre
On ne peut même plus respirer le même air
Si tu veux, jette mes cahiers
Si tu veux, efface jusqu’à mon numéro de portable
Si tu veux, avec mon courrier, allume
Un feu, pour voir si tu arrives à te réchauffer
Toi et moi, on passe d’être tout à rien
De se dévorer des yeux
A être maintenant face à face
Et tu ne peux même pas me regarder dans les yeux
On vivait bouche contre bouche
Nos lèvres ne voulaient pas se détacher
Et maintenant, là, dans la même chambre
On ne peut même plus respirer le même air
On vivait bouche contre bouche
Nos lèvres ne voulaient pas se détacher
Et maintenant, là, dans la même chambre
On ne peut même plus respirer le même air
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