Paroles de la chanson Les Amants par Carla De Coignac
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Paroles de la chanson Les Amants par Carla De Coignac
Caresser nos souffrances, effacer nos souvenirs, ce n’est pas en pleurant, qu’on apprend à sourire, regardons au-delà de notre égo minant et laissons au futur le droit d’être gagnant.
Pourquoi dire non, pourquoi dire stop, quand c’est l’unique chose que l’on veut, pourquoi agir contre un désir, pourquoi refuser d’être heureux, quand y’a que ça qui nous entraîne, vers le summum du bonheur, quand y’a qu’un être qui nous anime qui abolit nos plus grandes peurs.
Te refuser, te réfuter, faire semblant qu’tu te fous de tout, et t’oublier, dans le passé, comme si ton arme c’était le doute, oh on ne remplit pas un vase dans lequel il n’y a que des trous, arrête de dire qu’la solitude et l’unique chose que tu redoutes.
Pourquoi dire non, pourquoi dire stop, quand c’est l’unique chose que l’on veut, pourquoi agir contre un désir, pourquoi refuser d’être heureux, quand y’a que ça qui nous entraîne, vers le summum du bonheur, quand y’a qu’un être qui nous anime qui abolit nos plus grandes peurs.
Te refuser, te réfuter, faire semblant qu’tu te fous de tout, et t’oublier, dans le passé, comme si ton arme c’était le doute, oh on ne remplit pas un vase dans lequel il n’y a que des trous, arrête de dire qu’la solitude et l’unique chose que tu redoutes.
Mais putain regarde c’que tu m’fais, moi chaque minute j’les ai comptées, moi chaque secondes j’lai ai bouffées, en attendent de te voir changé en espérant qu’t’ouvres les yeux, sur une réalité précise, sur la logique que tu méprises, sur les sentiments qu’tu déguises, arrête de t’faire croire à toi-même que t’es ce mec insupportable, que t’es un qu’un con vil et grossier, un salaud sans cœur et minable, il n’y a qu’à toi qu’tu fais d’la peine, au fond d’cette ivresse inlassable, fini cette comédie humaine, tu sais de quoi tu es capable.
Mais tu dis, mais tu comprends, moi j’suis paumée, j’sais pas où j’vais, ni où aller, moi j’veux les plus puissantes des armes, j’veux le monopole de tes larmes, moi j’veux t’faire sourire quand il pleut, te faire croire au monde merveilleux, je ferais en sorte que tu ailles mieux, du moins je ferais c’que je peux…
Mais j’ai pas l’sourire, dehors il pleut, j’crois pas à ton monde merveilleux, j’ai pas l’impression d’aller mieux, ni toi ni moi ne sommes heureux…
Aller assumons tous les deux, le poids d’une vérité amère, laissons la vie nous engloutir, sans frein sans doute et sans barrière, oui on oubliera tout demain les promesses c’est pour les trouillards, nous on vit en s’tenant la main, pour mieux avancer dans le noir, on se battra contre nous même quitte à en perdre nos esprits, on se prouvera que quand on s’aime on a pas besoin de répit, c’est un périple dangereux dans lequel nous nous sommes lancés mais tu verras qu’au bout du compte on s’en sortira sans regret…
Caresser nos souffrances, effacer nos souvenirs, ce n’est pas en pleurant qu’on apprend à sourire, regardons au-delà de notre égo minant, et laissons au futur le droit aux amants.
Caresser nos souffrances, effacer nos souvenirs, ce n’est pas en pleurant qu’on apprend à sourire, regardons au-delà de notre égo minant, et laissons au futur le droit aux amants.
Caresser nos souffrances, effacer nos souvenirs, ce n’est pas en pleurant qu’on apprend à sourire, regardons au-delà de notre égo minant, et laissons au futur le droit aux amants.
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