Paroles de la chanson Les Indifférentes par Jean-Roger Caussimon
Chanson manquante pour "Jean-Roger Caussimon" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Les Indifférentes"
Proposer une correction des paroles de "Les Indifférentes"
Paroles de la chanson Les Indifférentes par Jean-Roger Caussimon
J' ai pris à Mackie son costume ,
Mais sa complainte sans appel
Qu'il se la chante à Withchapel
Je suis allergique à la brume
J'ai acheté avec les rentes
Que me rapportent mes chansons
A un taulier de Barbizon
Une guinguette pas marrante
Même au plus beau de la saison
C'est pour mes belles indifférentes
Que je voulais mettre en prison.....
Ces filles-là sont toutes celles
Qui jadis quand j'avais du cœur
M'assassinaient d'un air moqueur
Mais sa complainte sans appel
Qu'il se la chante à Withchapel
Je suis allergique à la brume
J'ai acheté avec les rentes
Que me rapportent mes chansons
A un taulier de Barbizon
Une guinguette pas marrante
Même au plus beau de la saison
C'est pour mes belles indifférentes
Que je voulais mettre en prison.....
Ces filles-là sont toutes celles
Qui jadis quand j'avais du cœur
M'assassinaient d'un air moqueur
Ou bien se prétendaient pucelles
Leurs prénoms c'est monnaie courante
L'important c'est qu'elles soient là
En frêles robes de gala
Et qu'elles soient restées charmantes
Mes Ophélie de cinéma
Elles ne sont plus indifférentes
Maintenant elles ont peur de moi.....
Elles ne seront plus à personne
Elles garderont leur beauté
Pas plus qu'il n'y aura d'été
pour elles ne viendra l'automne
Dans ce jardin où se lamente
A tout jamais le vent d'hiver
Sur le pick-up c'est le même air
D'une musique sidérante
Leurs prénoms c'est monnaie courante
L'important c'est qu'elles soient là
En frêles robes de gala
Et qu'elles soient restées charmantes
Mes Ophélie de cinéma
Elles ne sont plus indifférentes
Maintenant elles ont peur de moi.....
Elles ne seront plus à personne
Elles garderont leur beauté
Pas plus qu'il n'y aura d'été
pour elles ne viendra l'automne
Dans ce jardin où se lamente
A tout jamais le vent d'hiver
Sur le pick-up c'est le même air
D'une musique sidérante
Et qui leur tape sur les nerfs
Et mes belles indifférentes
Sont sensibles à ce truc pervers.....
Il faut les voir quand je radine
Grandi par mes talons bottiers
Et que je prends un air altier
En faisant siffler ma badine
Elles m'apportent déférentes
Mes cigarettes et mon whisky
Mais je ne dis jamais merci
Et garde une moue méprisante
A la manière de Mackie
Et mes belles indifférentes
De leur mains glacées me supplient...
Et mes belles indifférentes
Sont sensibles à ce truc pervers.....
Il faut les voir quand je radine
Grandi par mes talons bottiers
Et que je prends un air altier
En faisant siffler ma badine
Elles m'apportent déférentes
Mes cigarettes et mon whisky
Mais je ne dis jamais merci
Et garde une moue méprisante
A la manière de Mackie
Et mes belles indifférentes
De leur mains glacées me supplient...
Elles supplient pendant des heures
Ce n'est pas du travail bâclé
Et tout à coup je ferme à clef
Et je les laisse là , qui pleurent
N'écoutez pas les gens qui mentent
En disant qu'ils ont rencontré
L'une ou l'autre ce n'est pas vrai !
C'est des sosies ou des parentes
Les vrais de vrais sont enfermées
dans ma guinguette pas marrante
D'où elles ne sortiront jamais.....
Mes vraies , mes belles indifférentes
Que je n'ai pas cessé d'aimer.....
Ce n'est pas du travail bâclé
Et tout à coup je ferme à clef
Et je les laisse là , qui pleurent
N'écoutez pas les gens qui mentent
En disant qu'ils ont rencontré
L'une ou l'autre ce n'est pas vrai !
C'est des sosies ou des parentes
Les vrais de vrais sont enfermées
dans ma guinguette pas marrante
D'où elles ne sortiront jamais.....
Mes vraies , mes belles indifférentes
Que je n'ai pas cessé d'aimer.....
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)