Paroles de la chanson Les Vespasiennes par Cecile Goguely
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Paroles de la chanson Les Vespasiennes par Cecile Goguely
La brume donne à cette ville inconnue
Plus de mystère qu’elle n’en a jamais eu
Je cherche en vain, sous les horaires des cars
Comment me rendre au plus vite à la gare
Je tourne en rond, je ne sais plus où je suis
Le plan me dit : mais si, vous êtes ici
Je suis ici, mais où sont les toilettes ?
Les pissotières, enfin, les sanisettes ?
Les vespasiennes se cachent dans les rues
Dans le plus grand respect du paysage
Il fait plus clair, la brume a disparu
Et je sens quelques gouttes, sur mon visage
Il pleut, sur nos antiques vespasiennes
Le temps, qui fait des flaques fait des siennes
Et sur le pont, je compte les autos
Pour ne pas écouter le bruit de l’eau
Plus de mystère qu’elle n’en a jamais eu
Je cherche en vain, sous les horaires des cars
Comment me rendre au plus vite à la gare
Je tourne en rond, je ne sais plus où je suis
Le plan me dit : mais si, vous êtes ici
Je suis ici, mais où sont les toilettes ?
Les pissotières, enfin, les sanisettes ?
Les vespasiennes se cachent dans les rues
Dans le plus grand respect du paysage
Il fait plus clair, la brume a disparu
Et je sens quelques gouttes, sur mon visage
Il pleut, sur nos antiques vespasiennes
Le temps, qui fait des flaques fait des siennes
Et sur le pont, je compte les autos
Pour ne pas écouter le bruit de l’eau
Je préfère détourner mon attention
Du fleuve qui s’écoule librement
Et quand la pluie s’arrête brusquement
Je commence une course d’orientation
Dans mes ennuis, j’ai gardé en mémoire
Que l’église était à côté de la gare
Sur le chemin, je laisse encore une chance
Aux pissotières, qui assurent les urgences
Mais dans la ville, elles ont fermé boutique
Pensant qu’on méprisait leur sens pratique
Pourtant quand on les cherche, qu’est-ce qu’on les aime
On devrait leur écrire, plus de poèmes
Il pleut sur nos antiques vespasiennes
Le temps là-haut fait de nouveau des siennes
A la gare j’ai trouvé ce qu’il me faut
Et un endroit pour poser mon manteau
Du fleuve qui s’écoule librement
Et quand la pluie s’arrête brusquement
Je commence une course d’orientation
Dans mes ennuis, j’ai gardé en mémoire
Que l’église était à côté de la gare
Sur le chemin, je laisse encore une chance
Aux pissotières, qui assurent les urgences
Mais dans la ville, elles ont fermé boutique
Pensant qu’on méprisait leur sens pratique
Pourtant quand on les cherche, qu’est-ce qu’on les aime
On devrait leur écrire, plus de poèmes
Il pleut sur nos antiques vespasiennes
Le temps là-haut fait de nouveau des siennes
A la gare j’ai trouvé ce qu’il me faut
Et un endroit pour poser mon manteau
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