Paroles de la chanson Et Pourtant par Celso
Auteurs: Patricia Dorrival Randouillet
Compositeurs: Christophe Dubois
Editeurs: Lalouline Editions
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Paroles de la chanson Et Pourtant par Celso
Et pourtant,
Quand tous mes tourments,
Se fondent face au vent,
Et quand mes rancoeurs,
Ne sont qu’infortunes.
Quand toutes mes fêlures,
Ne sont que luxures,
Simples points de sutures,
Tendus jusqu’à l’usure.
Et pourtant,
Je sais que tu n’es plus moi,
Mes larmes sont sans aucun gout,
Ce mal nous laisse la,
Presque à genoux.
Quand tous mes tourments,
Se fondent face au vent,
Et quand mes rancoeurs,
Ne sont qu’infortunes.
Quand toutes mes fêlures,
Ne sont que luxures,
Simples points de sutures,
Tendus jusqu’à l’usure.
Et pourtant,
Je sais que tu n’es plus moi,
Mes larmes sont sans aucun gout,
Ce mal nous laisse la,
Presque à genoux.
Et pourtant,
Je sais que ton regard vide,
Ne laisse plus aucun espoir,
Ce mal nous rend livide,
Presque sans histoire.
Quand les mots ont froissés,
L’âme comme du papier,
Le cœur s’est abimé,
Le corps s’est fatigué.
Quand les jours et les nuits,
Hantés par la folie,
De ces morceaux de vie,
Deviennent des heures sans vie.
Quand l’aube est sans écho,
Pale reflet de mes maux,
Et laisse sur ma peau,
L’ombre de mes défauts.
Quand frêle et dérisoire,
Se dessine un espoir,
Je le fuis dans le noir,
La peur de décevoir.
Et pourtant,
Je sais que tu es moi,
Je sais que l’on est nous,
Qu’on a tout laissé la,
Derrière nous.
Et pourtant,
Je sais qu’il y a quelque part,
Encore des braises d’espoir,
Et laisse sur ma peau,
L’ombre de mes défauts.
Quand frêle et dérisoire,
Se dessine un espoir,
Je le fuis dans le noir,
La peur de décevoir.
Et pourtant,
Je sais que tu es moi,
Je sais que l’on est nous,
Qu’on a tout laissé la,
Derrière nous.
Et pourtant,
Je sais qu’il y a quelque part,
Encore des braises d’espoir,
D’enfermer dans le noir,
Le mal de notre histoire.
Même si l’ivresse des sens,
Mène parfois la danse,
Que mon corps balance,
Entre raison et démence.
Même si des mains me touchent,
Des corps s’offre à ma couche,
Même si sur ma bouche,
Se posent d’autres bouches.
Même si ma mémoire t’oublie,
Le temps d’une autre envie,
Vestiges de torrides nuits,
D’où je me maudis.
Le mal de notre histoire.
Même si l’ivresse des sens,
Mène parfois la danse,
Que mon corps balance,
Entre raison et démence.
Même si des mains me touchent,
Des corps s’offre à ma couche,
Même si sur ma bouche,
Se posent d’autres bouches.
Même si ma mémoire t’oublie,
Le temps d’une autre envie,
Vestiges de torrides nuits,
D’où je me maudis.
Et pourtant,
Je sais que tu n’es plus moi,
Mes larmes n’ont plus aucun gout,
Ce mal nous laisse là,
Presque à genoux.
Et pourtant,
Je sais que ton regard vide,
Ne laisse plus aucun espoir,
Ce mal nous a laissé livide,
Presque sans histoire.
Quand tout redevient glace,
Que tout reprend sa place,
Que mon seul espace,
Est de trouver ta place.
Quand tout redevient gris,
Je sais que tu n’es plus moi,
Mes larmes n’ont plus aucun gout,
Ce mal nous laisse là,
Presque à genoux.
Et pourtant,
Je sais que ton regard vide,
Ne laisse plus aucun espoir,
Ce mal nous a laissé livide,
Presque sans histoire.
Quand tout redevient glace,
Que tout reprend sa place,
Que mon seul espace,
Est de trouver ta place.
Quand tout redevient gris,
Que reviennent ces nuits,
A se glacer d’ennui,
Sans toi dans mon lit.
Quand mes yeux cherchent encore,
Au fond de ce décor,
Un morceau de ton corps ;
Sans l’idée de la mort.
Quand je ne peux plus être,
Je ne veux plus renaitre,
Je veux disparaitre,
Au fond de ma détresse.
Quand je dessine ta peau,
Comme on peint un tableau,
Juste avec mes mots,
Pour retrouver ton écho.
A se glacer d’ennui,
Sans toi dans mon lit.
Quand mes yeux cherchent encore,
Au fond de ce décor,
Un morceau de ton corps ;
Sans l’idée de la mort.
Quand je ne peux plus être,
Je ne veux plus renaitre,
Je veux disparaitre,
Au fond de ma détresse.
Quand je dessine ta peau,
Comme on peint un tableau,
Juste avec mes mots,
Pour retrouver ton écho.
Quand tous nos souvenirs,
Me font encore sourire,
Que tes éclats de rire,
Enflamment mon désir.
Quand comme une évidence,
Je ressens ton absence
Je vis ma pénitence,
Je me terre dans le silence.
Quand j’ai choisi l’oubli,
Pour rester en vie,
Sans toi je poursuis,
Ce chemin sans un cri…
Et pourtant…
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