Paroles de la chanson Près du mur par Cenza
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Paroles de la chanson Près du mur par Cenza
Près du mur
Assis sur le côté
Près du mur
Assis sur le côté
Près du mur en toute saison
Pour diverse raisons
L'impression que c'est bien trop près d'ce mur que nous nous berçons
Immersion dans l'tiekson le dos droit comme un "i"
La couleur d'mon béton n'est que reflet de colonies
L'apologie d'une galère, la tête en l'air
L'astrologie n'voit pas que l'avenir des bâtiments s'trouve par terre
Assis sur le côté
Près du mur
Assis sur le côté
Près du mur en toute saison
Pour diverse raisons
L'impression que c'est bien trop près d'ce mur que nous nous berçons
Immersion dans l'tiekson le dos droit comme un "i"
La couleur d'mon béton n'est que reflet de colonies
L'apologie d'une galère, la tête en l'air
L'astrologie n'voit pas que l'avenir des bâtiments s'trouve par terre
Réfractaire à tout discours, la discorde se mêle à moi
Le mal-aimé, j'ai mis les mains dans la merde, je remue les mots
C'est moi l'ami, venu rejoindre la marche des accusés
Désabusé, j'ai vu ces murs musés maintenant tu l'sais
Pour pouvoir s'envoler, même le malin prie, y a pas d'lois
Crois-moi qu'entre quatre angles, même la liberté a un prix
Une fumée blanche comme accompagnement, salement
Les patrouilles vadrouillent, guettent ma mouille avec acharnement
Baskets collées au pavé, rodéo chassé
Près du mur les idées clairs noircissent au passé
Le mal-aimé, j'ai mis les mains dans la merde, je remue les mots
C'est moi l'ami, venu rejoindre la marche des accusés
Désabusé, j'ai vu ces murs musés maintenant tu l'sais
Pour pouvoir s'envoler, même le malin prie, y a pas d'lois
Crois-moi qu'entre quatre angles, même la liberté a un prix
Une fumée blanche comme accompagnement, salement
Les patrouilles vadrouillent, guettent ma mouille avec acharnement
Baskets collées au pavé, rodéo chassé
Près du mur les idées clairs noircissent au passé
Près du mur
Assis sur le côté
Près du mur
Assis sur le côté
Près du mur dans une cellule bétonnée ou capitonnée
Adossé aux briques perpendiculaires pour capituler
De l'autre côté d'un mur de Berlin à Gaza brisé
Mon mur à moi a toujours été celui d'la cité
J'tourne en rond, j'en ai la tête au carré
Accaparé d'un rire fâché, j'sais plus où mes pieds s'en iront marcher
Il n'y a qu'une surface pour donner ma tête à encastrer
J'peux apercevoir à travers les fissures du passé
Les parpaings s'empilent dans mon esprit muré (Eh oh)
C'est l'écho d'ma propre voix que j'entends murmuré
Même compacté en noyant des villes
Les murs nous séparent, j'me sens plus libre en voyant des ruines
Le sheitan s'cache en moi comme un schizo
J'suis sur l'fil du rasoir et c'est lui qui tient les ciseaux
La barque flotte mais à tout moment peut chavirer
Petit à petit j'vois casser la branche sur laquelle j'suis agrippé
Près du mur
Les parpaings s'empilent dans mon esprit muré (Eh oh)
C'est l'écho d'ma propre voix que j'entends murmuré
Même compacté en noyant des villes
Les murs nous séparent, j'me sens plus libre en voyant des ruines
Le sheitan s'cache en moi comme un schizo
J'suis sur l'fil du rasoir et c'est lui qui tient les ciseaux
La barque flotte mais à tout moment peut chavirer
Petit à petit j'vois casser la branche sur laquelle j'suis agrippé
Près du mur
Assis sur le côté
Près du mur
Assis sur le côté
Près du mur
Assis sur le côté
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