Paroles de la chanson Joli coucou (Traduction) par Chansons Bretonnes
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Paroles de la chanson Joli coucou (Traduction) par Chansons Bretonnes
Je suis né à Guéméné
O, joli coucou
Je suis né à Guéméné
O, joli coucou
Mon père, ma mère aussi
Joli, joli coucou
Mon père, ma mère aussi
O, joli coucou
Mon père, ma mère avaient du bien
Pour m’envoyer au collège
Au collège pour devenir prêtre
Mon pauvre coeur ne le permet pas
Au collège pour devenir moine
O, joli coucou
Je suis né à Guéméné
O, joli coucou
Mon père, ma mère aussi
Joli, joli coucou
Mon père, ma mère aussi
O, joli coucou
Mon père, ma mère avaient du bien
Pour m’envoyer au collège
Au collège pour devenir prêtre
Mon pauvre coeur ne le permet pas
Au collège pour devenir moine
Mon coeur désirait une fille
Quand les autres allaient prier
J’allais dans les rues pour jouer
Quand les autres allaient en classe
J’allais dans les rues pour faire la fête
Mon père, ma mère, quand ils ont entendu
Quelle espèce de fripon ils avaient élevé
M’ont écrit une lettre
De revenir à la maison pour changer de métier
Mes côtes étaient pleines de regrets
Pour travailler avec les houes et les pelles
A côté de ce que j’avais connu au séminaire
Quand les autres allaient prier
J’allais dans les rues pour jouer
Quand les autres allaient en classe
J’allais dans les rues pour faire la fête
Mon père, ma mère, quand ils ont entendu
Quelle espèce de fripon ils avaient élevé
M’ont écrit une lettre
De revenir à la maison pour changer de métier
Mes côtes étaient pleines de regrets
Pour travailler avec les houes et les pelles
A côté de ce que j’avais connu au séminaire
Mettre des encres de couleur sur le papier
Je ne fus pas longtemps chez mon père
Avant de débaucher la fille d’un riche propriétaire
Une fille à cinq cents écus par an
Et moi j’en avais autant
En un an tout était dilapidé
Et j’avais le sac du recteur sur le dos
Je ne fus pas longtemps chez mon père
Avant de débaucher la fille d’un riche propriétaire
Une fille à cinq cents écus par an
Et moi j’en avais autant
En un an tout était dilapidé
Et j’avais le sac du recteur sur le dos
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