Paroles de la chanson Joujou par Chansons entre deux guerres
Auteurs: Dumont
Compositeurs: Benech F.l.
Editeurs: Beuscher Arpege
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Paroles de la chanson Joujou par Chansons entre deux guerres
Joujou
1.
L'autr'jour je flânais sans savoir pourquoi,
J'avais mal aux nerfs, jusqu'au bout des doigts,
Les gens m'agaçaient, je les trouvais bêtes,
Une envi' d'pleurer ou de fair' la fête.
Tiens, un attroup'ment, voitur's, bouquets blancs !
C'est un grand mariag', sûr'ment y a d'l'argent !
Voici la mariée et la foul' s'écrie :
Ce qu'elle a du chic, ce qu'elle est jolie.
Alors je regarde et je crois rêver
Sous le voile blanc je viens de r'trouver :
1.
L'autr'jour je flânais sans savoir pourquoi,
J'avais mal aux nerfs, jusqu'au bout des doigts,
Les gens m'agaçaient, je les trouvais bêtes,
Une envi' d'pleurer ou de fair' la fête.
Tiens, un attroup'ment, voitur's, bouquets blancs !
C'est un grand mariag', sûr'ment y a d'l'argent !
Voici la mariée et la foul' s'écrie :
Ce qu'elle a du chic, ce qu'elle est jolie.
Alors je regarde et je crois rêver
Sous le voile blanc je viens de r'trouver :
REFRAIN
Joujou, mon petit Joujou,
Ma jolie poupée
Des belles années
Que j'ai tant aimée.
Je t'app'lais ainsi
Car tu m'avais dit :
Que les p'tit's poupées ne sont qu'des joujoux,
Que les doigts des homm's bris'nt comme des fous.
Poupée !
Joujou d'amour !
Joujou !
Plaisir d'un jour !
2.
Et la jalousie me tordit le coeur :
"Tu n'tiens pas encor ton rêv' de bonheur !"
Joujou, mon petit Joujou,
Ma jolie poupée
Des belles années
Que j'ai tant aimée.
Je t'app'lais ainsi
Car tu m'avais dit :
Que les p'tit's poupées ne sont qu'des joujoux,
Que les doigts des homm's bris'nt comme des fous.
Poupée !
Joujou d'amour !
Joujou !
Plaisir d'un jour !
2.
Et la jalousie me tordit le coeur :
"Tu n'tiens pas encor ton rêv' de bonheur !"
Une affreus' pensée dans ma tête roule,
D'un geste brutal, j'écarte la foule...
Je vais pour crier : "C'est moi ton amant !"
J'allais arracher ton voile tout blanc,
Quand j'ai vu tes yeux, des yeux de martyre,
Des yeux malheureux qui semblaient me dire :
C'est vous le coupable et vous me jugez,
Alors j'ai pleuré et j'ai murmuré :
Refrain
3.
Quand on a vingt ans, ah ! si l'on savait
Qu'un premier baiser ne s'oublie jamais,
Je ne serais pas le pauvre qui pleure
Sur tout le passé, seul dans sa demeure...
D'un geste brutal, j'écarte la foule...
Je vais pour crier : "C'est moi ton amant !"
J'allais arracher ton voile tout blanc,
Quand j'ai vu tes yeux, des yeux de martyre,
Des yeux malheureux qui semblaient me dire :
C'est vous le coupable et vous me jugez,
Alors j'ai pleuré et j'ai murmuré :
Refrain
3.
Quand on a vingt ans, ah ! si l'on savait
Qu'un premier baiser ne s'oublie jamais,
Je ne serais pas le pauvre qui pleure
Sur tout le passé, seul dans sa demeure...
Les regrets sont vains quand tout est fini
Et cette chanson que pour vous j'écris,
J'irai la chanter sous votre fenêtre,
Car je ne peux plus t'envoyer de lettre !
Sans doute jamais, nous n'nous reverrons,
C'est pourquoi, je viens mendier mon pardon...
Refrain
Et cette chanson que pour vous j'écris,
J'irai la chanter sous votre fenêtre,
Car je ne peux plus t'envoyer de lettre !
Sans doute jamais, nous n'nous reverrons,
C'est pourquoi, je viens mendier mon pardon...
Refrain
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