Paroles de la chanson A l'hopital Saint Louis par Chansons Paillardes
Chanson manquante pour "Chansons Paillardes" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "A l'hopital Saint Louis"
Proposer une correction des paroles de "A l'hopital Saint Louis"
Paroles de la chanson A l'hopital Saint Louis par Chansons Paillardes
A l'hôpital Saint-Louis
Dans la fosse aux tumeurs
C'est là que je me réjouis
A m'fair'des tartin's de beurre
Moi j'm'en fous, j'bouff'de tout
Si j'mang'bien, si j'chie peu
C'est afin que rien n'se perde
Si j'suis dégoûté d'la merde
C'est qu'j'y ai trouvé un ch'veu
Mon frère est poitrinaire
Et dégueul'tout'la nuit
Si je couch'à côté d'lui,
C'est afin d'bouffer ses glaires
Dans la fosse aux tumeurs
C'est là que je me réjouis
A m'fair'des tartin's de beurre
Moi j'm'en fous, j'bouff'de tout
Si j'mang'bien, si j'chie peu
C'est afin que rien n'se perde
Si j'suis dégoûté d'la merde
C'est qu'j'y ai trouvé un ch'veu
Mon frère est poitrinaire
Et dégueul'tout'la nuit
Si je couch'à côté d'lui,
C'est afin d'bouffer ses glaires
Sur les bords de la Seine
J'rencontre un chien crevé,
Je lui tir'les vers du nez
Et j'les bouffe à l'italienne
Dedans une pissotière,
Quelqu'un a dégueulé,
Je sors ma petit'cuillère
Et je m'mets à déguster
Tous les mois, c'est l'usage,
Ma femm'saigne du con,
Si je suce ses tampons,
Ca épargn'le blanchissage
Quand mon gosse a la chiasse
Je lui lèch'le trou du cul
Et puisque je suis barbu,
J'rencontre un chien crevé,
Je lui tir'les vers du nez
Et j'les bouffe à l'italienne
Dedans une pissotière,
Quelqu'un a dégueulé,
Je sors ma petit'cuillère
Et je m'mets à déguster
Tous les mois, c'est l'usage,
Ma femm'saigne du con,
Si je suce ses tampons,
Ca épargn'le blanchissage
Quand mon gosse a la chiasse
Je lui lèch'le trou du cul
Et puisque je suis barbu,
Je m'en fous plein les moustaches
Quand je vois mon vieil oncle,
J'l'embrass'la bouche en coeur
Pour mieux sucer les humeurs,
Qui coulent de ses furoncles
Quand un vieil invalide
A fait cinq ou six lieues
Je lui lèch'le tour des yeux
Et j'suc'ses chancres putrides
Quand l'facteur du village
A fini sa tournée,
Je lui lèch'la plant'des pieds,
Ca remplace le fromage.
Ce que les femm's enceintes
Quand je vois mon vieil oncle,
J'l'embrass'la bouche en coeur
Pour mieux sucer les humeurs,
Qui coulent de ses furoncles
Quand un vieil invalide
A fait cinq ou six lieues
Je lui lèch'le tour des yeux
Et j'suc'ses chancres putrides
Quand l'facteur du village
A fini sa tournée,
Je lui lèch'la plant'des pieds,
Ca remplace le fromage.
Ce que les femm's enceintes
Rejett'nt en accouchant
Est un mets fort croustillant
Que je gard'pour la s'main'sainte
Quand un vésicatoire
Suppure et rend du jus
Moi, je pos'ma langu'dessus
J'pense ainsi manger et boire
Le jus d'syphilitiques
L'urin'des chaud'-pisseux
Sont des breuvag's délicieux
Et des nectars angéliques
Messieurs, si ma ballade
Vous donne le hoquet,
Dégueulez dans un baquet,
J'aime aussi la dégueulade
Est un mets fort croustillant
Que je gard'pour la s'main'sainte
Quand un vésicatoire
Suppure et rend du jus
Moi, je pos'ma langu'dessus
J'pense ainsi manger et boire
Le jus d'syphilitiques
L'urin'des chaud'-pisseux
Sont des breuvag's délicieux
Et des nectars angéliques
Messieurs, si ma ballade
Vous donne le hoquet,
Dégueulez dans un baquet,
J'aime aussi la dégueulade
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)