Paroles de la chanson A Saigon par Chansons Paillardes
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Paroles de la chanson A Saigon par Chansons Paillardes
Quand Jésus-Christ
Créa la Coloniale
Il décréta qu' fallait des hommes costauds
N'ayant pas peur du feu, de la mitraille
Et sachant boire le vin et le PERNOD!
Linh tay mot haï ba | (bis)
Con gaï anamit linh tay |
Derrière la cabane bambou
Ay, ay mot haï ba
Derrière la cabane bambou
Casser çal dit payé nam su
Ô sao mon Capitaine
Casser qué dit l'a pas payé
Dans Saigon, la ville principale
Créa la Coloniale
Il décréta qu' fallait des hommes costauds
N'ayant pas peur du feu, de la mitraille
Et sachant boire le vin et le PERNOD!
Linh tay mot haï ba | (bis)
Con gaï anamit linh tay |
Derrière la cabane bambou
Ay, ay mot haï ba
Derrière la cabane bambou
Casser çal dit payé nam su
Ô sao mon Capitaine
Casser qué dit l'a pas payé
Dans Saigon, la ville principale
Où les Marsouins étaient en garnison
Les officiers en pousse-pousse se baladent
Traitant l'nhaqué comme un vulgaire cochon
Aux officiers il faut des japonaises
Alors que nous, pauvres Marsouins fauchés
Nous nous tapons c' qu'on appelle la terre glaise
Spécialité de nos girons nhaqué
Nous avons fait Cayenne, la Martinique
Madagascar, le Tchad, la Réunion
On a partout gaiement tiré sa chique
Laissant parfois un gosse au biberon
La Coloniale est une grande famille
On y rencontre des ploucs, des marseillais
Des madounachs, et ceux de la bastille
Chacun y vient pour s'y faire engraisser
Les officiers en pousse-pousse se baladent
Traitant l'nhaqué comme un vulgaire cochon
Aux officiers il faut des japonaises
Alors que nous, pauvres Marsouins fauchés
Nous nous tapons c' qu'on appelle la terre glaise
Spécialité de nos girons nhaqué
Nous avons fait Cayenne, la Martinique
Madagascar, le Tchad, la Réunion
On a partout gaiement tiré sa chique
Laissant parfois un gosse au biberon
La Coloniale est une grande famille
On y rencontre des ploucs, des marseillais
Des madounachs, et ceux de la bastille
Chacun y vient pour s'y faire engraisser
Amis, amis buvons encore un verre
Que dans nos yeux, y brille la gaieté
Et tous ensemble, chantons d'une voix claire
La Coloniale, c'est le muscle français
Après 20ans perclus mais superbes
L’armée nous rends enfin à nos foyers
Pour épouser une pucelle imberbe
Avec laquelle il faudra procréer
Le soir des noces, à l’humble créature
Tu lui diras ma belle tournes moi le dos
Le cul vois-tu c’est contre la nature
Mais c’est si cher au cœur des Coloniaux
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