Paroles de la chanson Benjamin par Chansons Paillardes
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Paroles de la chanson Benjamin par Chansons Paillardes
Bonnes gens occupées à boire,
Hydromel ou tonneaux de vin,
Oyez tous la tragique histoire
De l’infortuné Benjamin.
Cet enfant sans expérience
De ses parents quitta le toit,
Pour aller, malgré leur défense,
Enculer les chevaux de bois,
Car ces chevaux étaient de bois. (bis)
Pas tant que nos gueules, crois-moi,
Pas tant que nos gueules.
Déjà Benjamin a pris la place.
Il jouit, ô bonheur sans égal,
Benjamin, le gros dégueulasse
Hydromel ou tonneaux de vin,
Oyez tous la tragique histoire
De l’infortuné Benjamin.
Cet enfant sans expérience
De ses parents quitta le toit,
Pour aller, malgré leur défense,
Enculer les chevaux de bois,
Car ces chevaux étaient de bois. (bis)
Pas tant que nos gueules, crois-moi,
Pas tant que nos gueules.
Déjà Benjamin a pris la place.
Il jouit, ô bonheur sans égal,
Benjamin, le gros dégueulasse
Jute dans le cul du cheval.
Il fait aller sa grosse pine,
Mais soudain le voilà pantois :
En vain il halète, il turbine,
Verge et roustons demeurant froids,
Sa pine était devenue de bois. (bis)
Pas tant que nos gueules, crois-moi,
Pas tant que nos gueules.
Depuis cette métamorphose,
Il bandait la nuit, le jour,
Et dans toutes les maisons closes,
Sans arrêter, il faisait l’amour.
Sa pine n’était jamais molle,
Car c’était une pine de bois.
Mais il attrapa la vérole
En foutant un vagin de bois,
Il fait aller sa grosse pine,
Mais soudain le voilà pantois :
En vain il halète, il turbine,
Verge et roustons demeurant froids,
Sa pine était devenue de bois. (bis)
Pas tant que nos gueules, crois-moi,
Pas tant que nos gueules.
Depuis cette métamorphose,
Il bandait la nuit, le jour,
Et dans toutes les maisons closes,
Sans arrêter, il faisait l’amour.
Sa pine n’était jamais molle,
Car c’était une pine de bois.
Mais il attrapa la vérole
En foutant un vagin de bois,
Oui un vagin qu’était de bois. (bis)
Pas tant que nos gueules, crois-moi,
Pas tant que nos gueules.
Pas tant que nos gueules, crois-moi,
Pas tant que nos gueules.
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