Paroles de la chanson Les Chaudes pisses par Chansons Paillardes
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Paroles de la chanson Les Chaudes pisses par Chansons Paillardes
Comme je voudrais tant que tu fus lesbienne,
Je n’aurais pas à m’en plaindre aujourd’hui.
En ce temps-là, ma bite était plus belle,
Et mes urines moins brûlantes qu’aujourd’hui.
C’est un gono, qui nous rassemble,
C’est un trépo, qui nous unit.
Nous périrons, tous deux ensemble,
Complètement pourris jusqu’au nombril.
Mais mon vit écarte celles qui sentent,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et mon foutre efface sur ta fente
Les pas des morpions désunis.
Je n’aurais pas à m’en plaindre aujourd’hui.
En ce temps-là, ma bite était plus belle,
Et mes urines moins brûlantes qu’aujourd’hui.
C’est un gono, qui nous rassemble,
C’est un trépo, qui nous unit.
Nous périrons, tous deux ensemble,
Complètement pourris jusqu’au nombril.
Mais mon vit écarte celles qui sentent,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et mon foutre efface sur ta fente
Les pas des morpions désunis.
Les chaudes-pisses se ramassent à la pelle,
Les chaudes-pisses et les véroles aussi.
Et ton vagin silencieux et fidèle,
Sourit encore et remercie mon vit.
C’est un gono, qui nous rassemble,
C’est un trépo, qui nous unit.
Nous périrons, tous deux ensemble,
Complètement pourris jusqu’au nombril.
Mais mon vit écarte celles qui sentent,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et mon foutre efface sur ta fente
Les pas des morpions désunis.
Elle était ma plus douce amie,
Comment veux-tu que je l’oublie ?
Et le gono que tu portais,
Toujours je le garderai.
Les chaudes-pisses et les véroles aussi.
Et ton vagin silencieux et fidèle,
Sourit encore et remercie mon vit.
C’est un gono, qui nous rassemble,
C’est un trépo, qui nous unit.
Nous périrons, tous deux ensemble,
Complètement pourris jusqu’au nombril.
Mais mon vit écarte celles qui sentent,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et mon foutre efface sur ta fente
Les pas des morpions désunis.
Elle était ma plus douce amie,
Comment veux-tu que je l’oublie ?
Et le gono que tu portais,
Toujours je le garderai.
C’est un gono, qui nous rassemble,
C’est un trépo, qui nous unit.
Nous périrons, tous deux ensemble,
Complètement pourris jusqu’au nombril.
Mais mon vit écarte celles qui sentent,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et mon foutre efface sur ta fente
Les pas des morpions désunis.
Les chaudes-pisses se ramassent à l’hôtel,
Tu vois, je n’ai pas oublié
Les chaudes-pisses se ramassent à l’hôtel,
Les chaudes-pisses et les véroles aussi.
C’est un gono, qui nous rassemble,
C’est un trépo, qui nous unit.
Nous périrons, tous deux ensemble,
Complètement pourris jusqu’au nombril.
Mais mon vit écarte celles qui sentent,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et mon foutre efface sur ta fente
Les pas des morpions désunis.
Et c’est ton vagin qui les porte,
Tu les garde dans ton zizi.
Tu vois que je n’ai pas oublié,
Le gono que tu m’as filé.
C’est un gono, qui nous rassemble,
C’est un trépo, qui nous unit.
Nous périrons, tous deux ensemble,
Complètement pourris jusqu’au nombril.
Mais mon vit écarte celles qui sentent,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et mon foutre efface sur ta fente
Mais mon vit écarte celles qui sentent,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et mon foutre efface sur ta fente
Les pas des morpions désunis.
Et c’est ton vagin qui les porte,
Tu les garde dans ton zizi.
Tu vois que je n’ai pas oublié,
Le gono que tu m’as filé.
C’est un gono, qui nous rassemble,
C’est un trépo, qui nous unit.
Nous périrons, tous deux ensemble,
Complètement pourris jusqu’au nombril.
Mais mon vit écarte celles qui sentent,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et mon foutre efface sur ta fente
Les pas des morpions désunis.
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